Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Pirates des Caraïbes : Le Secret du Coffre Maudit.
Gibbs : C’était pas prévu comme ça.
Jack Sparrow : Des complications encore et toujours. Mais je suis le plus fort.
Marty : C’est une clef !
Jack Sparrow : Mieux ! Bien plus mieux ! C’est là le croquis d’une clef. Les amis, à quoi servent les clefs, au juste ?
Pirate : Les clefs… déverrouillent… des trucs ?
Gibbs : Et quoi que cette clef déverrouille, à l’intérieur il y a sûrement un objet de valeur ! On va donc chercher à découvrir ce que cette clef déverrouille !
Jack Sparrow : Non. Parce que sans la clef on ne déverrouillera pas ce qu’on a pas encore à déverrouiller. Alors à quoi servirait de trouver d’abord ce qu’il faut qu’on déverrouille, à supposer qu’on le trouve, avant même d’avoir trouvé la clef qui le déverrouille ?
Gibbs : Alors, faut d’abord trouver la clef !
Jack Sparrow : Ce que tu dis n’a aucun sens.
Cutler Beckett : Nous étions en affaire autrefois. Et chacun de nous à laisser sa marque sur l’autre.
Cutler Beckett : Jack Sparrow est un homme du passé, le monde rétrécit. Les mers et les océans de nos cartes se précisent. Jack doit trouver sa place dans le nouveau monde ou périr.
Jack Sparrow : Pourquoi y a jamais de rhum sur ce rafiot ?
Jack Sparrow : Est-ce que je rêve ?
Bill Turner : Non.
Jack Sparrow : Je m’en doutais. Si je rêvais, y aurait du rhum.
Jack Sparrow : Je veux du mouvement ! Du mouvement ! Je veux voir du mouvement !
Soldat : Mr Swann…
Gouverneur Swann : Gouverneur Swann, toujours. Vous croyez que je porte cette perruque pour me réchauffer la cervelle ?
Elizabeth Swann : Je t’attendrais.
Will Turner : N’oublie pas de surveiller l’horizon.
Cutler Beckett : Je vous écoute. Je vous écoute avec attention.
Gibbs : Soulevez la cage ! Comme la robe d’une pucelle !
Gibbs : Mettons de la distance entre nous et cette île Jack, cap sur le large !
Jack Sparrow : Oui à la première, oui à la seconde, mais restons à proximité du rivage le plus longtemps possible !
Gibbs : Euh ? Ca me semble un peu contradictoire, Capitaine !
Jack Sparrow : J’ai toute confiance dans tes talents de conciliateur maritime mon cher Gibbs ! Bon, où est ce macaque, j’ai le pistolet qui me démange.
Will Turner : Tu veux que je trouve ça ?
Jack Sparrow : Non. Non, toi tu veux trouver ça. Parce que si tu trouves ça, tu te trouveras en prédisposition de trouver ou de localiser une autre découverte en découvrant le moyen de sauver ta demoiselle, mademoiselle. Compris ?
Will Turner : Cette chose est censée sauver Elizabeth ?
Jack Sparrow : Dis moi, est-ce qu’on t’a parlé de Davy Jones ?
Will Turner : Pas vraiment.
Jack Sparrow : Oui, ça sauvera Elizabeth.
Jack Sparrow : Ne vous inquiétez pas, Tia et moi sommes de vieux amis, comme cul et chemise. Nous sommes inséparable les gars, étions… avons été… autrefois…
Gibbs : Je couvre vos arrières.
Jack Sparrow : Couvre plutôt mes avants.
Will Turner : Est-ce que vous me connaissez ?
Tia Dalma : C’est toi qui veut me connaître.
Jack Sparrow : Personne ne se connaîtra !
Tia Dalma : Jack Sparrow n’a pas l’air de savoir ce qu’il souhaite. Ou bien le sais-tu tout en refusant de le revendiquer pour toi ?
Will Turner : Qu’est-ce qui fâche tous les hommes ?
Tia Dalma : Devine chéri.
Gibbs : L’océan ?
Pintel : Le calcul mental ?
Ragetti : La dichotomie du bien et du mal ?
Jack Sparrow : Une femme !
Jack Sparrow : De la terre ? Un bocal plein de terre ?
Will Turner : C’est ça votre Hollandais Volant ? Il n’est pas très impressionnant.
Jack Sparrow : Toi non plus. Ne le sous-estime pas. C’est quoi ton plan ?
Will Turner : Je monte à bord et je récupère ta fichue clé.
Jack Sparrow : Et s’il y a un équipage ?
Will Turner : J’étriperai tous ceux qui se trouveront sur mon chemin.
Jack Sparrow : J’adore. Sobre, facile à se rappeler.
Davy Jones : Est-ce que tu as peur de la mort ? Est-ce que tu as peur de la noirceur des abysses ? Tous tes actes révélés. Tous tes pêchés punis. Sache que je te propose une échappatoire.
Davy Jones : C’est la vie qui est cruelle. Alors pourquoi l’au-delà devrait-il être différent ?
Davy Jones : Tu as une dette envers moi. Tu as été capitaine du Black Pearl pendant 13 ans. Car tel était notre accord.
Jack Sparrow : Y a que deux ans que je suis réellement capitaine. J’ai du faire face à d’horribles mutins.
Davy Jones : Tu étais donc un mauvais capitaine mais un capitaine quoi qu’il en soit. Qui plus ait, durant toutes ces années, ne t’es-tu pas présenté comme le capitaine Jack Sparrow ?
Jack Sparrow : Il est amoureux d’une fille. Sur le point de l’épouser. Promis l’un à l’autre. Le séparer d’elle et elle de lui serait sans doute moitié moins cruel que de les unir à jamais par les liens sacrés du mariage.
Davy Jones : Es-tu capable de vivre en sachant que tu as fait condamner un innocent, un ami de longue date, à une misérable vie de servitude à ta place, pendant que tu jouis de la liberté ?
Jack Sparrow : Oui ! Ca me convient. On scelle ça dans le sang ? J’veux dire, l’encre ?
Gibbs : Raconte moi ton histoire.
James Norrington : Mon histoire… est exactement la même que votre histoire au chapitre précédent. J’ai pourchassé un homme sur les sept mers. Ça m’a coûté mon équipage, mes prérogatives… toute ma vie.
Elizabeth Swann : Je viens retrouver l’homme que j’aime.
Jack Sparrow : Tu m’en vois flatté mon gars mais mon premier et unique amour est l’océan.
Elizabeth Swann : Je parle de William Turner, Capitaine Sparrow.
Jack Sparrow : Elizabeth ? Cache le rhum. Ces oripeaux ne vous vont pas du tout. Portez une robe ou rien et il se trouve que je n’ai pas de robe dans ma cabine.
James Norrington : Je fais partie de votre équipage, j’y suis pour rien si vous engagez n’importe qui !
Will Turner : Je défie Davy Jones.
Davy Jones : Et je relève ce défi.
Jack Sparrow : Pourrais-je savoir comment vous avez eu ces lettres ?
Elizabeth Swann : La persuasion.
Jack Sparrow : Amicale?
Elizabeth Swann : Ce serait allé trop loin.
Pirate : Le petit n’est pas là. Sûrement englouti par l’océan.
Davy Jones : Sache que c’est moi l’océan.
Pirate : Qu’est-ce qu’on fait des survivants ?
Davy Jones : Il n’y a aucun survivants.
Elizabeth Swann : Le moment viendra où vous pourrez enfin agir avec honneur.
Jack Sparrow : Je les adore ces moments ! Je les salue de la main quand je les vois passer.
Pirate : Vous nous faites confiance pour agir ?
Davy Jones : Je vous fais confiance pour savoir ce qui vous attend si vous échouez !
James Norrington : Vous avez dit la vérité alors.
Jack Sparrow : C’est ce que je fais très souvent. Je ne vois pas pourquoi ça vous surprend !
Jack Sparrow : Le côté obscur de l’ambition.
James Norrington : Je préférerais y voir une promesse de rédemption.
Elizabeth Swann : C’est de la barbarie ! Ce n’est pas comme ça que des adultes peuvent régler leurs… ! Oh ! Très bien ! Allons-y, dégainons nos sabres et que la fête commence ! Ça réglera sûrement tout pas vrai ? J’en ai ma claque ! J’en ai marre des pirates complètement ivres ! Imbibés de rhum ! Je vous déteste !
Pintel : Mais comment ça a pu dégénérer ?
Ragetti : Eh ben, chacun veut le coffre pour lui pas vrai ? Monsieur Norrington doit être en train d’essayer de retrouver son honneur, ce vieux Jack voudrait l’échanger pour sauver sa peau et Will Turner, il doit essayer de régler un problème épineux entre lui et la double malédiction de son pirate de père.
Pintel : C’est triste. Ce coffre doit valoir plus d’un penny vieux frère.
Ragetti : Horrible tentation !
Pintel : On pourrait faire preuve d’un peu de charité, on peut leur éviter la tentation en le faisant disparaître.
James Norrington : Vous me pardonnerez mais j’aimerais tuer l’homme qui a détruit ma vie, très cher.
Will Turner : Je vous en prie !
Jack Sparrow : Une minute ex-commodore. Etudions un moment cette affirmation mon ami. Dites-moi donc qui, au moment même où vous aviez réussi à mettre un redoutable pirate derrière les barreaux, a jugé bon de libérer le dit-pirate et de garder votre tendre et bien-aimée pour lui tout seul. Hein ? Alors à qui la faute en réalité, si vous êtes devenus un pauvre ivrogne contraint de travailler sous les ordres d’un pirate ?
James Norrington : Assez ! Mais malheureusement monsieur Turner, il dit vrai !
Jack Sparrow : Eh face de poulpe ! Espèce de vieille méduse, regarde ce que j’ai : un bocal de terre, un bocal de terre ! Et devine ce qu’il y a dedans ?
Jack Sparrow : Où il est le cœur ? Où il est le boum-boum ?
Gibbs : On a qu’une demi-douzaine de barils !
Will Turner : Vous n’avez qu’à ajouter le rhum !
Gibbs : Hissez le filet ! Faites comme si vous étiez payés pour ça !
Will Turner : Le Pearl a coulé avec son capitaine.
Gibbs : Oui, et le monde semble déjà un peu moins radieux. Il s’est moqué de nous, jusqu’à la fin. Mais c’est un éclair d’honnêteté qui l’a emporté. A Jack Sparrow !
Tia Dalma : Est-ce qu’un seul d’entre vous serait prêt à tout ? Pourriez-vous naviguer jusqu’aux confins de la Terre et plus encore afin de ramener le plaisant Jack et son précieux Black Pearl ?