Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film La petite sirène.
Achats.
Polochon : Laisse-moi souffler ! Tu vas trop vite je m’emmêle les nageoires.
Eurêka : Les humains se servent de ces piques-piques pour ratisser leurs poils de tête.
Polochon : Ce n’est pas sa faute ! Euh… parce que d’abord… euh… Y a eu le requin et euh… nous on a essayé, mais on n’a pas pu et lui il a grrrr et après ooooh et puis on s’est sauvé. Mais après le goéland est arrivé et patati et patata.
Ariel : Je viens d’avoir seize ans, je ne suis plus une petite fille !
Sébastien : Nom d’une méduse à moustache.
Ariel : Oooh ! Il est beau, tu ne trouves pas Eurêka ?
Eurêka : Un peu trop poilu et un peu trop baveux à mon goût !
Eurêka : Oh ça se rafraîchit ! J’aurais dû prendre une petite laine moi !
Eurêka : Franchement, au niveau du cœur c’est le calme plat.
Ursula : Pour obtenir ce que tu souhaites, il te suffit de devenir humaine toi-même.
Ariel : Si je deviens humaine, je ne reverrais plus mon père ni mes sœurs alors.
Ursula : Oh c’est bête ! Mais tu pourras voir ton prince. La vie est malheureusement faite de choix douloureux !
Ursula : Ca ne te coûtera que ta voix !
Éric : Woh ! Il faudrait abréger ses souffrances, cette pauvre bête est à l’agonie.
Grimsby : Eric, si je pus me permettre, mieux vaut une fiancée bien réelle qu’un rêve que l’on poursuit. Une femme aimante et douce, et là mon prince, elle n’attend qu’un mot de vous.
Sébastien : Mais qu’on me fasse empailler cette pipelette !
Eurêka : Ariel ! Je volais… je volais, bien sûr que je volais ! Lorsque j’ai vu la soupière… la sorcière qui se mirait dans un miroir et qui poussait la chansonnette avec le gosier d’une petite brune… tu entends ce que je te dis tête de boudin créole ? Le prince va épouser la sorcière des mers !
Éric : Cette si jolie voix ! Alors c’était vous ? C’était vous depuis le début !
Éric : Je l’ai déjà perdue une fois, je ne veux pas recommencer !
Ursula : Mes poussins ! Mes pauvres petits mamours !
Triton : Je crois qu’elle l’aime sincèrement, n’est-ce pas Sébastien ?
Sébastien : Oui je me suis toujours évertué à le dire Votre Majesté. Il faut laisser à nos enfants la liberté totale de vivre leur propre vie.
Triton : Toi, tu as toujours dit ça ? Oh, il ne me reste plus qu’un seul problème à régler.
Sébastien : De quel ordre votre majesté ?
Triton : Comment vais-je supporter son absence ?
Ariel : Papa, je t’aime.