Réalisateur : Shawn Levy.
Scénariste : Robert Ben Garant, David Guion, Michael Handelman et Thomas Lennon.
Producteur : Shawn Levy et Chris Columbus.
Compositeur : Alan Silvestri.
Société de production : 20th Century Fox, 21 Laps Entertainment, 1492 Pictures, TSG Entertainment et Moving Picture Company.
Distributeur : 20th Century Fox.
Sortie USA : 19 décembre 2014.
Sortie française : 4 février 2015.
Titre original : Night at the Museum: Secret of the Tomb.
Durée : 1h37.
Budget : 127 millions de dollars.
Recette mondiale : 363,2 millions de dollars.
Recette USA : 113,7 millions de dollars.
Entrées françaises : 1 576 649 entrées.
Résumé.
La tablette qui sert à refaire vivre les éléments du musée se meurt. Larry et ses amis partent à Londres pour tenter de résoudre leur problème avant une extinction complète.
Casting.
Larry Daley / Laaa : Ben Stiller (VF : Maurice Decoster).
Theodore Roosevelt : Robin Williams (VF : Michel Papineschi).
Nick Daley : Skyler Gisondo (VF : Gabriel Bismuth-Bienaimé).
Tilly : Rebel Wilson (VF : Julia Boutteville).
Merenkahre : Ben Kingsley (VF : Féodor Atkine).
Lancelot : Dan Stevens (VF : Damien Witecka).
Jedediah : Owen Wilson (VF : Lionel Tua).
Octavius : Steve Coogan (VF : Patrick Mancini).
Dr McPhee : Ricky Gervais (VF : Pierre Laurent).
Madeline Phelps : Rachael Harris (VF : Inconnue).
Ahkmenrah : Rami Malek (VF : Franck Lorrain).
Attila : Patrick Gallagher (VF : Inconnue).
Sacagawea : Mizuo Peck (VF : Inconnue).
Shepseheret : Anjali Jay (VF : Dominique Lelong).
Roi Arthur : Hugh Jackman (VF : Joël Zaffarano).
Achats.
Affiches.
Images.
En savoir plus.
La nuit au musée : le secret des pharaons est la suite de La nuit au musée et de La nuit au musée 2.
Ce film marque la dernière apparition à l’écran de Robin Williams suite à son décès survenu avant la sortie du film.
Le tournage s’est déroulé de janvier à mai 2014 au Canada et en Angleterre.
Notre critique de La nuit au musée : le secret des pharaons.
Troisième opus après un second assez raté, de quoi sauver l’honneur ?
Changement de décor avec le musée londonien. On retourne ainsi un peu plus aux origines de la tablette qui permet de faire vivre les statues et compagnie. Cela arrive souvent dans les franchises et l’idée de base est bonne. En gros, l’intrigue est un mélange des deux premiers films : du sérieux d’un côté et de l’humour de l’autre. Pourtant, on n’arrive pas à être vraiment captivé par l’histoire. La magie n’est pas vraiment de retour. Cependant, il faut avouer que l’intérêt revient à l’histoire de la tablette, sa création, l’origine de ce qui va donner la trilogie de films.
De plus, le fait que le sort s’estompe permet d’insuffler plus d’émotions suite à l’attachement envers les personnages des premiers films. Le défaut du précédent opus est ainsi corrigé. Le film est une sorte de course contre la montre pour empêcher l’extinction définitive de la tablette. Cela donne des moments d’actions et de bravoures bien maîtrisés. La dernière partie du film offre son lot d’émotions qui peut être assez poignante pour les plus sensibles.
Pour La nuit au musée : le secret des pharaons, on retrouve nos personnages favoris en commençant évidemment par Larry. Si dans un sens il est toujours le même, on voit aussi son côté paternel mis plus en avant afin de protéger son fils devenu adolescent et qu’ils ont du mal à se comprendre l’un l’autre. Roosevelt est de retour de même qu’Attila, Octavius, Jedediah, Sacagawea et Ahkmenrah. Chacun est présent pour montrer les conséquences de la disparition du sort tout en voulant également tenter de sauver leur situation.
Du côté des nouveaux personnages, il y a Laaa. Un homme préhistorique pas très futé incarné par Ben Stiller également. Son jeu d’acteur est ici impressionnant car très différent de son rôle de Larry. Lancelot joue ici l’antagoniste de l’histoire en étant obnubilé par les légendes arthuriennes. On découvre également les parents d’Ahkmenrah qui sont présents juste pour l’aspect historique. On retiendra surtout la présence le temps d’une séquence de Hugh Jackman jouant son propre rôle et offrant un passage hilarant où il joue fait une interprétation de Wolverine. Du côté des humains, la présence de Rebel Wilson est là pour le côté humour dans ses rares apparitions mais son personnage n’a vraiment rien d’intéressant.
La réalisation est efficace et à l’image du reste de la saga. Les effets visuels se veulent réussis et surtout moins nombreux que dans le second film. Le rythme est bon et on retiendra surtout une scène vraiment impressionnante en terme d’effets spéciaux lorsque les héros se retrouvent dans un tableau qui se voit dans tous les sens. La bande originale se veut plus mélodieuse et agréable à l’oreille.
La nuit au musée : le secret des pharaons est une bonne conclusion à la trilogie mais n’atteint toujours pas le niveau du premier film.
