Réalisateur : Patrick Lussier.
Scénariste : Carl Dupré et Joel Soisson.
Producteur : Joel Soisson.
Compositeur : Steve Boeddeker.
Société de production : Dimension Films, Neo Art & Logic et Overseas FilmGroup.
Distributeur : Dimension Films.
Sortie USA : 14 mars 2000 (directement en DVD).
Sortie française : Inconnue.
Titre original : Inconnu.
Durée : 1h24.
Budget : Inconnu.
Recette mondiale : Inconnue.
Recette USA : Inconnue.
Entrées françaises : Inconnue.
Résumé.
Danyael Rosales, fils d’un ange et d’une humaine, est traqué par des anges. Gabriel, devenu humain, cherche à le protéger.
Casting.
Gabriel : Christopher Walken (VF : Bernard Tiphaine).
Zophael : Vincent Spano (VF : Inconnue).
Danyael : Dave Buzzotta (VF : Inconnue).
Maggie : Kayren Butler (VF : Inconnue).
Le zélote : Brad Dourif (VF : Inconnue).
Pyriel : Scott Cleverdon (VF : Inconnue).
Joseph : Steve Hytner (VF : Inconnue).
Achats.
En savoir plus.
The propecy 3 : the ascent est la suite de The prophecy (1995) et The prophecy 2 (1998).
Notre critique de The prophecy 3 : the ascent.
Deux premiers volumes en demi-teinte qui accouchent d’un troisième film.
Continuité du précédent en avançant un peu dans le temps, on retrouve des liens avec cette fois-ci le rejeton d’un ange qui est devenu grand. Pour rester dans l’esprit de la saga, on est encore dans la guerre angélique avec encore un autre ange qui veut encore quelqu’un pour encore gagner sa guerre. On se lasse assez vite d’une histoire qui n’offre plus grand chose où ça se contente de vouloir devenir le petit chef. La dernière partie de The prophecy 3 : the ascent est assez basique et n’offre pas assez de « magie ».
Christopher Walken est de retour mais son personnage semble beaucoup plus effacé. Il a bien évolué en tant qu’humain et se rend compte de ce qu’il a fait en tant qu’ange. Cependant, il n’y a toujours pas assez d’exploitation de ce qu’il est pour contribuer à une intrigue plus intéressante. L’enfant de l’ange n’est pas attachant du tout, en plus d’avoir un acteur peu convaincant. Le rôle féminin du film ne sert pas à grand chose plus. Quant à l’antagoniste, il est à l’image de ses prédécesseurs en manquant de charisme.
La réalisation est fidèle aux deux premiers films mais on s’attendait quand même à mieux. On n’a plus d’effets de surprises. Puis l’utilisation des flashback et autres visions sont mal utilisés. La bande originale arrive à être à la hauteur et apporte une ambiance nécessaire pour se rappeler qu’on navigue dans un univers divin.
The prophecy 3 : the ascent est plutôt sur la pente descendante.
