Réalisateur : Jim Henson.
Scénariste : Jerry Juhl et Jerry Ross.
Producteur : Diana Birkenfield.
Compositeur : Keith Textor.
Société de production : Jim Henson Television.
Distributeur : ABC.
Sortie USA : 30 janvier 1974.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : The Muppets Valentine show.
Durée : 25min.
Budget : Inconnu.
Résumé.
Wally veut écrire une histoire d’amour mais ne sait pas trop le vrai sens de l’amour. Il demande de l’aide à ses amis.
Achats.
À venir.
Casting.
Wally / Kermit / Rowlf / Ernie : Jim Henson (VF : Inconnue).
George / Rufus : Frank Oz (VF : Inconnue).
Droop / Thog / Miss Mousey : Jerry Nelson (VF : Inconnue).
Mildred : Richard Hunt (VF : Inconnue).
Crazy Donald : John Lovelady (VF : Inconnue).
Brewster / Crumpet : Dave Goelz (VF : Inconnue).
Mia Farrow : elle-même (VF : Inconnue).
En savoir plus.
The Muppets Valentine show a servi d’épisode pilote et de préparation pour la série The Muppet Show. ABC rejeta ce téléfilm.
Notre critique de The Muppets Valentine show.
La Saint-Valentin célèbre l’amour et à la sauce Muppets, on peut s’attendre à tout.
L’histoire est assez simple où chacun va donner sa vision de l’amour. Si l’idée est bonne, il ne faut pas non plus s’attendre à quelque chose de très profond. Le tout est assez basique et les versions ne sont pas exceptionnelles ou bouleversantes. L’humour est bien présent à travers quelques petits gags mais ce n’est pas le fond de commerce de ce téléfilm. Il y a quand même une forme d’ennui qui se dessine tant les scénettes sont très inégales en qualité.
Il n’y a pas vraiment de personnages non plus auxquels s’attacher. Ils sont assez nombreux mais tous survolés. En revanche, ils ont chacun leur propre personnalité malgré leur faible temps de présence à l’écran. Le héros principal manque cruellement de charisme et ne fait que se contenter de taper à la machine à écrire alors qu’il est au cœur de l’intrigue. Enfin, la seule présence humaine de ce métrage sent sort bien mais son rôle n’apporte rien d’exceptionnel.
En peu de temps (25 minutes), on arrive quand même à avoir de la variété dans les décors même si on retiendra surtout la séquence de Kermit qui bénéficie de plus de moyens. Concernant le plateau principal, c’est un petit salon sans grande prétention mais ça fait suffisamment l’affaire. Quant au travail des marionnettistes, cela reste de bonne facture mais pour certaines des poupées c’est quand même bien trop minimaliste. On souligne le travail de voir Kermit en entier en train de faire du vélo. Enfin, la présence régulière de chansons est ici bien justifiée en plus de proposer quelques bonnes mélodies.
The Muppets Valentine show n’a rien de transcendant mais évite le naufrage.
