Réalisateur : Bruce Bilson.
Scénariste : Sy Gomberg et Rick Mittleman.
Producteur : Jerome Courtland.
Compositeur : Frank De Vol.
Société de production : Walt Disney Productions.
Distributeur : ABC.
Sortie USA : 21 et 28 décembre 1980.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : The ghosts of Buxley Hall.
Durée : 1h33.
Budget : Inconnu.
Résumé.
Une école militaire pour garçon devient mixte. Ce qui n’est pas au goût de fantômes d’officiers respectueux des traditions qui veulent faire fuir les filles.
Achats.
À venir.
Casting.
General Eulace C. Buxley : Dick O’Neill (VF : Inconnue).
Sergeant Major Chester B. Sweet : Victor French (VF : Inconnue).
Bettina Buxley : Louise Latham (VF : Inconnue).
Jeremy Ross : Rad Daly (VF : Inconnue).
Posie Taylor : Tricia Cast (VF : Inconnue).
Colonel Joe Buxley : Monte Markham (VF : Inconnue).
Ernestine Di Gonzini : Ruta Lee (VF : Inconnue).
Count Sergio Luchesi Di Gonzini : Vito Scotti (VF : Inconnue).
Judge Oliver Haynes : Don Porter (VF : Inconnue).
Virgil Quinby : Steve Franken (VF : Inconnue).
Emily Wakefield : Renne Jarrett (VF : Inconnue).
Cadet Captain Hubert Fletcher : Christian Juttner (VF : Inconnue).
Images.
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Vidéos.
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Univers.
À venir.
En savoir plus.
The ghosts of Buxley Hall a été diffusé en deux parties.
Le tournage s’est déroulé en Californie.
Notre critique de The ghosts of Buxley Hall.
L’égalité des sexes, les traditions, des militaires et des fantômes, un bien curieux mélange.
On a donc droit à une double intrigue dans ce téléfilm qui oscille entre messages sérieux et comédies. C’est un équilibre dur à gérer et ça se ressent car il y a du bon comme du mauvais dans les deux. Tout d’abord il y a l’intrigue des traditions qu’il faut respecter mais que certains refusent de moderniser. C’est une idée intéressante qu’il faut aussi pouvoir s’adapter au changement sans pour autant tout renier. Forcément, il y a aussi l’égalité entre les hommes et les femmes. Le sujet est correctement abordé sans tomber dans les excès. Tout se fait à travers les yeux des fantômes qui découvrent que le monde a évolué et c’est ce qui rend le tout comique. On regrette juste qu’il y ait des gags peu drôles qui ne servent en plus à rien. Quant à la seconde intrigue concernant le vol d’un héritage, c’est trop en décalage par rapport au reste et sans intérêt. Ce n’est que prétexte à ajouter encore un peu d’humour.
Plusieurs personnages occupent ce téléfilm. Bien entendu, il y a les trois fantômes mais qui ne sont pas gérés de la même manière. En effet, il aurait été intéressant que le fantôme femme soit plus mise en avant, un comble pour un scénario qui traite de l’égalité des sexes… Elle aurait pu donner une autre vision au téléfilm. Surtout que les deux autres hommes se ressemblent sans personnalité vraiment développée. Puis il y a les deux enfants, le garçon timide et la fille rebelle. Très cliché mais ils sont au moins assez attachants. Nous avons également les officiers « vivants », très stricts et rigoureux et l’enseignante très ouverte et joyeuse, voulant faire changer les choses. Enfin, il y a le couple qui veut voler l’héritage. Dommage qu’ils soient trop exagérés et on les oublie rapidement. On termine avec le gardien totalement grotesque qui n’est là que pour faire des gags ridicules.
Il ne faut pas s’attendre à une réalisation aux petits oignons. C’est propre dans l’ensemble mais il y a quand même beaucoup trop de facilités (sûrement du au budget). Les fantômes n’ont rien de spectral, ce sont juste les acteurs en chair et en os et on voit que les acteurs « vivants » les contournent. Il n’y a pas d’effet de transparence ni de passage au travers. Même les disparitions usent du trucage le plus basique qui soit avec un simple effacement brutal et parfois pas toujours très propres. On s’attendait quand même à mieux.
The ghosts of Buxley Hall est un divertissement correct avec de bons points mais parfois trop noyés dans l’humour.
