Réalisateur : Richard Ladkani, Sean Bogle et Matthew Podolsky.
Scénariste : Inconnu.
Producteur : Wolfgang Knöpfler et Walter Köhler.
Compositeur : H. Scott Salinas.
Société de production : Terra Mater Factual Studios, Appian Way, Malaika Pictures et The Wild Lens Collective.
Distributeur : National Geographic.
Première mondiale : 27 janvier 2019 (Sundance).
Sortie USA : 12 juillet 2019.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : Sea of shadows.
Durée : 1h45.
Budget : Inconnu.
Résumé.
Des militants écologiques et la marine mexicaine se battent contre les cartels mexicains et la mafia chinoise qui s’attaquent au poisson totoaba, le menaçant d’extinction.
Casting.
Avec les voix françaises de Franck Sportis, Franck Soumah, Adrien Solis, Lybert Ramade, Véronique Uzureau…
Images.
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Notre critique de Sea of shadows.
Un sujet intéressant sur le papier et qui peut être très porteur à l’écran.
Il est toujours prenant de voir des animaux menacés et que des gens se battent pour les sauver. Cependant, malgré ce combat, le documentaire ne parvient pas vraiment à émouvoir ni même à captiver. On apprend pas mal de choses sur le fonctionnement de la sauvegarde mais aussi sur les cartels prêts à tout pour défendre leur business mais ce n’est pas suffisait pour heurter les esprits. Néanmoins, on voit le danger que vivent les protecteurs chaque jour tant la mafia use d’armes, de meurtres, de violences en tout genre… C’est donc un double combat qui se montre à nous. De plus et pour une fois, on ne s’attarde pas trop sur l’animal et son mode de vie, on est vraiment face à sa préservation.
Il n’y a pas grand chose à dire sur la réalisation qui se veut simple. En revanche, on apprécie que les caméras soient au coeur du danger, ou bien qu’elles soient cachées pour infiltrer les réseaux et nous montrer de l’intérieur comme ça se passe. De même, les témoignages floutées et aux voix trafiquées rappellent bien les conditions de tournage difficiles et les conséquences qu’il peut y avoir derrière. Cela manque quand même d’images plus fortes afin de marquer les esprits.
Sea of shadows aurait mérité d’être plus percutant mais son sujet le sort déjà du lot.
