Réalisateur : Tibor Takács.
Scénariste : Daniel Berendsen.
Producteur : Melissa Joan Hart, Paula Hart, Ovidio G. Assonitis et Kenneth R. Koch.
Compositeur : Danny Lux.
Société de production : Viacom Productions et Hartbreak Films.
Distributeur : ABC.
Sortie USA : 4 octobre 1998.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : Sabrina goes to Rome.
Durée : 1h27.
Budget : Inconnu.
Résumé.
Sabrina se rend à Rome pour démêler un mystère entourant un médaillon familial. Sur place, elle rencontre une autre sorcière.
Achats.
À venir.
Casting.
Sabrina Spellman : Melissa Joan Hart (VF : Sarah Marot).
Paul : Eddie Mills (VF : Inconnue).
Gwen : Tara Charendoff (VF : Inconnue).
Travis : James Fields (VF : Inconnue).
Alberto : Eric Alexander (VF : Inconnue).
Salem : Nick Bakay (VF : Patrick Préjean).
Images.
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Vidéos.
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Univers.
À venir.
En savoir plus.
Sabrina, l’apprentie sorcière : les fantômes du passé est tiré de la série Sabrina, l’apprentie sorcière.
Le téléfilm est aussi connu sous le titre Sabrina et le médaillon magique.
Le tournage s’est déroulé en Italie.
Notre critique de Sabrina, l’apprentie sorcière : les fantômes du passé.
La série continue avec un second téléfilm qui va voyager sur le vieux continent.
On s’oriente vers un passé familial qui au final ne sera jamais réellement abordé. Surtout, sans intérêt. Le scénario tente de partir dans plusieurs intrigues sans jamais parvenir à proposer quelque chose de percutant. D’un côté il y a l’histoire du médaillon qui fait office de fil conducteur. Cela sert juste de prétexte à remplir la deuxième partie du film via un voyage temporel pour apporter quelque chose de prévisible. L’autre intrigue repose sur deux hommes trop curieux qui veulent filmer des preuves de sorcellerie. Là encore, cela sert à combler pour pas grand chose. Enfin, la présence d’une seconde sorcière maladroite est là pour des touches comiques sans grand effet. En clair, malgré un scénario pas complètement mauvais, il n’y a pas de quoi être captivé.
On retrouve uniquement l’héroïne principale de la série ici. Elle s’en sort toujours très bien et l’actrice joue même un second personnage (souci de facilité scénaristique surtout…). Néanmoins, son personnage n’est pas très développé et l’exploration du mystère familial ne l’aide pas non plus à gagner en profondeur. Adolescente oblige, il fallait bien y caser une histoire romantique mais c’est juste là pour cocher la case « fleur bleue ». Gwen est la seconde sorcière débutante où tous ses sorts se déroulent affreusement mal. Elle est là pour faire le soutien de Sabrina. On retrouve aussi Salem, le chat parlant qui apporte de l’humour par moment. L’antagoniste est Paul, un adolescent qui veut juste de l’argent avec son ami en dévoilant son secret mais il va tomber amoureux et être perdu. C’est cliché et c’est bien dommage.
Le fait de partir en Italie permet à la série de quitter les studios pour du tournage en extérieur. Le côté dépaysant est réussi et on profite un peu du charme de Rome sans tomber dans le périple touristique promotionnel. Comme nous sommes dans un univers de sorcellerie, il y a des sorts qui nécessitent des effets visuels. C’est plutôt réussi. Salem est toujours convaincant et les différents tours de magie usent d’images de synthèses corrects qui ne font pas téléfilm du pauvre.
Sabrina, l’apprentie sorcière : les fantômes du passé se laisse regarder mais manque de saveur quand même.