Prince Ali – Paroles de la chanson – Aladdin.

-


aladdin Disney bande originale soundtrack album

Fiche technique.

Compositeur : Alan Menken.
Paroles : Howard Ashman, Alan Menken et Tim Rice.
Adaptation française : Luc Aulivier et Philippe Videcoq.
Label : Walt Disney Records.
Sortie : 28 septembre 2004.
Film : Aladdin.

Achat.

Clip.

Prince Ali.

Interprétée par Richard Darbois.

Faites place au Prince Ali !
Quelle grâce, le Prince Ali !

Bande de veinards, dégagez le bazar.
Et vous allez voir ce que vous allez voir.
Venez applaudir, acclamer,
La superstar.
Fêtez ce grand jour.
Clochettes et tambours.
Venez adorer l’idole.

Prince Ali ! Sa seigneurie,
Ali Ababwa.
À genoux, prosternez-vous.
Soyez ravis.
Pas de panique, on se calme.
Criez vive Ali Salaam.
Venez voir le plus beau spectacle d’Arabie.

Prince Ali,
Plus fort que lui,
Je n’en connais pas.
Qui vous porte d’Abu Dhabi à bout de bras.
Il a vaincu une armée,
Tout seul avec son épée.
La terreur des ennemis,
C’est Prince Ali.

Il a cent trois chameaux et chamelles.
Ne sont-ils pas mignons, Simone ?
Une caravane de paons qui se pavanent.
Oh ! oui, Thierry, j’adore leurs plumes.
Des gorilles qu’ils protègent de leurs ailes.
Ce zoo est un souk.
Cornes de bouc, c’est une super ménagerie.

Prince Ali, oui c’est bien lui, Ali Ababwa.
Quel physique, c’est magnétique.
Il est charmant.
Il y a du monde au balcon.
Moi j’ai du voile au menton.
Et tout le monde s’évanouit pour Prince Ali.

Venez voir ses deux cents singes persans
C’est payant ! Et pourtant c’est gratuit.
Serviteurs et esclaves travaillent pour lui.
C’est le plus grand, on lui obéit.
Mais chacun donnerait sa vie pour Ali ! Vive Ali !

Prince Ali !
Oui, c’est bien lui ! Ali Ababwa,
Est ici pour votre fille si jolie.
Voilà pourquoi en cortège, cet amoureux vous assiège,
Avec trente éléphants qui jouent les acrobates.
Des ours et puis des lions,
Au son du clairon.
Ses quarante fakirs, sa batterie de chefs,
Ses oiseaux qui crient.
Faites place au Prince Ali !

Prince Ali (Reprise).

Interprétée par Féodor Atkine.

Prince Ali, oui, c’est bien lui.
Trompeuse apparence.
L’imposture jamais ne dure pour qui veut tricher.
Le vent efface l’image.
D’un mirage à deux visages.
Saluez donc votre précieux Prince Ali !

Cet Ali, vous l’avez compris, n’est rien qu’Aladdin.
Croyez-moi, c’est un gredin.
Un bon à rien.
Il vole, c’est un voyou.
Et mon devoir après tout,
C’est d’envoyer voler jusqu’en enfer.
Ce traîne-misère avec ses chimères.
Loin de ma colère, loin de mes frontières.
Au fin fond du désert.
Adieu, ex- Prince Ali.