Réalisateur : George T. Miller.
Scénariste : Jon S. Denny, Rick Podell, Michael Preminger et Maryedith Burrell.
Producteur : Michael Jaffe.
Compositeur : Steve Dorff.
Société de production : Spectacor Films et Walt Disney Television.
Distributeur : NBC.
Sortie USA : 16 décembre 1991.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : In the Nick of time.
Durée : 1h29.
Budget : Inconnu.
Recette mondiale : Inconnue.
Recette USA : Inconnue.
Entrées françaises : Inconnue.
Résumé.
Le Père Noël Nick a sept jours pour trouver son successeur. Ben serait le prochain mais il a perdu la joie de vivre depuis le décès de sa femme.
Achats.
À venir.
Casting.
Santa Claus : Lloyd Bridges (VF : Inconnue).
Ben Talbot : Michael Tucker (VF : Inconnue).
Freddy : Cleavon Little (VF : Inconnue).
Louie : Conrad Bergschneider (VF : Inconnue).
Window Dresser : Matt Birman (VF : Inconnue).
William : Richard Blackburn (VF : Inconnue).
Aimee Misch : Jessica DiCicco (VF : Inconnue).
Sheila : Lucy Filippone (VF : Inconnue).
Images.
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Vidéos.
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Univers.
À venir.
En savoir plus.
Le tournage s’est déroulé au Canada.
Notre critique de Noël en péril.
Le téléfilm de Noël, une tradition qui offre de belles surprises la plupart du temps.
Il ne faut pas s’attendre à quelque chose de faramineux ici. La structure du scénario est très classique, ne laissant place à aucunes surprises. Si d’habitude l’effet prend quand même, ce n’est pas vraiment le cas ici. Il y a plusieurs intrigues secondaires pour donner de l’épaisseur mais il faut reconnaître que ce n’est pas toujours très constructif. Dommage car il y a un certain potentiel avec Ben qui perd goût à la vie. Il aurait été judicieux de bien plus se concentrer sur lui uniquement et sur son besoin de se reconstruire plutôt que de papillonner sur plusieurs protagonistes. L’histoire manque ainsi d’émotions et même la magie de Noël n’est pas présente à sa juste mesure. Le final est extrêmement prévisible et on s’en doutait depuis le tout début.
On continue avec un casting sans plus dont les prestations sont ce qu’elles sont mais qui ne sont clairement pas marquantes. Même Nick, le Père Noël, n’a pas le charisme nécessaire pour le rôle. Il semble perdu dans ce qu’il fait et malgré le fait qu’il véhicule plusieurs valeurs dont la famille, on n’arrive pas à s’attacher suffisamment à lui. Même chose pour Ben qui est cruellement sous exploité. Il a perdu sa femme, a besoin de revivre, Noël ne lui fait aucun effet, se déconnecte des autres… Mais tout ce qui devait être percutant avec lui passe à la trappe. Les autres rôles sont dans le même registre, manquant d’envergure et pour certains d’une réelle utilité.
Autre point négatif, la réalisation se veut vraiment lente et ne reflète pas vraiment le dynamise ou la tendresse de la période de Noël. Car à part quelques musiques emblématiques, on n’a rien qui indique qu’on est dans cette fête. Aucune décoration, une absence de magie… tout ce qu’on attend quand même d’une production portant sur Noël. La mise en scène n’insuffle donc pas la féerie qui aurait pu relever le niveau. Au contraire, ça va le rabaisser encore d’un cran et provoquer de l’ennui.
Noël en péril est un téléfilm en péril à lui tout seul.
