Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl.
Gibbs : Ça porte malheur d’avoir une femme à bord, même une femme miniature.
Mullroy : Ce quai est strictement interdit aux civils !
Jack Sparrow : J’en savais rien, je vous demande pardon. Si j’en vois un, je vous en informerai immédiatement.
Mullroy : Halte ! Éloigne-toi de là, tu n’as pas l’autorisation de monter à bord de ce navire.
Jack Sparrow : J’ai pas pu résister ! C’est un superbe bateau… navire !
Murtogg : Comment tu t’appelles ?
Jack Sparrow : Smith… ou Smitty pour les intimes.
Mullroy : Et qu’êtes-vous venus faire à Port Royal, Monsieur Smith ?
Murtogg : Et pas d’entourloupe !
Jack Sparrow : Très bien, autant avouer… J’ai l’intention de réquisitionner un de ces bâtiments, de trouver des matelots à Tortuga et de piller, voler et saccager comme un forban sans âme et sans cœur.
Murtogg : J’ai dit pas d’entourloupe !
Mullroy : Il dit la vérité j’en suis sûr.
Murtogg : S’il disait la vérité, jamais il nous l’aurait dit
Jack Sparrow : Sauf s’il savait que vous refuseriez de le croire même s’il avouait tout.
Norrington : Pas de balles en réserve, pas de poudre, un compas qui n’indique pas le Nord et… je m’attendais presque à une épée en bois. Vous êtes sans nul doute le pirate le plus pitoyable dont on m’ait parlé.
Jack Sparrow : Au moins on vous a parlé de moi.
Jack Sparrow : Chers amis, Milady, que cette journée demeure comme celle où vous avez failli capturer le Capitaine Jack Sparrow.
Jack Sparrow : Qui forge tout ça ?
Will Turner : C’est moi. Et je m’entraîne avec. Trois heures par jour.
Jack Sparrow : Tu ferais mieux de te trouver une fille, mon gars. Ou peut-être bien que la raison pour laquelle tu t’entraînes tant c’est que t’en as trouvé une, sauf qu’en fait t’es incapable de combler ladite femelle. T’es pas eunuque par hasard ?
Elizabeth Swann : Capitaine Barbossa, je suis venue négocier la cessation des hostilités contre Port-Royal.
Barbossa : Oh, il y avait là des tas de mots très savants, nous ne sommes que d’humbles pirates. Que voulez-vous réellement ?
Elizabeth Swann : Que vous partiez et ne reveniez jamais.
Barbossa : Il ne me sied guère d’accéder à votre requête. Ça veut dire non.
Will Turner : On va voler le navire ? Ce navire ?
Jack Sparrow : Réquisitionner. On réquisitionne ce bâtiment, termes nautiques.
Will Turner : Ou c’est de la folie, ou c’est du génie.
Jack Sparrow : Ce qui est étonnant, c’est que souvent ces deux qualités vont ensemble.
Barbossa : Regardez ! L’éclat de la Lune nous révèle tel que nous sommes. Nous ne faisons pas parties des vivants, nous ne pouvons donc mourir mais nous ne sommes pas morts pour autant. Depuis trop longtemps mon corps brûle d’une soif que je ne puis étancher. Depuis trop longtemps je meurs de faim sans pouvoir mourir. Je ne peux rien ressentir, ni le vent sur mon visage ni les embruns de l’océan ni la chaleur de la chair d’une femme. Commencez à croire aux histoires de fantômes, mademoiselle Turner. Vous en vivez une.
Jack Sparrow : Tout homme qui n’est pas à sa place reste sur place.
Jack Sparrow : Pourparlers ! Pourparlers !
Pintel : Pourparlers ? Au diable les misérables têtes d’œuf qui ont inventé les pourparlers.
Jack Sparrow : C’est sûrement les Français.
Barbossa : Par l’enfer, comment as-tu réussi à quitter cette île?
Jack Sparrow : Quand tu m’as voué à la mort sur cette île maudite nappée de sable, tu as oublié un truc primordial, camarade. Je suis le Capitaine Jack Sparrow.
Will Turner : Il ne leur fallait pas votre sang. Il leur fallait le sang de mon père. Mon sang. Le sang d’un pirate.
Barbossa : Qui es-tu donc ?
Jack Sparrow : Personne ! C’est personne ! Un lointain cousin germain, un neveu d’une tante au deuxième degré… Comme chanteur, il est divin ! Un eunuque !
Jack Sparrow : L’autre fois, tu m’as laissé un pistolet avec une balle.
Barbossa : Par ma barbe, c’est vrai. Où est le pistolet de ce vieux Jack ? Apportez-le moi.
Jack Sparrow : Et vu que nous sommes deux, un gentilhomme nous laisserait une paire de pistolets.
Barbossa : Je t’offre un seul pistolet, comme avant. À toi de prouver que tu es un gentilhomme en tuant la donzelle avant de te laisser mourir de faim.
Elizabeth Swann : Vous avez passé trois jours sur une plage à boire du rhum ?
Jack Sparrow : Bienvenue aux Caraïbes mon ange !
Jack Sparrow : Vous avez brûlé nos provisions, l’ombrage, le rhum ?
Elizabeth Swann : Oui, on n’a plus de rhum.
Jack Sparrow : Pourquoi on n’a plus de rhum ?
Elizabeth Swann : D’abord, parce que c’est une boisson indigne qui fait de l’homme le plus respectable un fripon de bas étage. Ensuite, cette fumée noire monte à plus de trois cent mètres et je sais que toute la flotte royale me cherche en ce moment. Croyez-vous qu’il y ait réellement le moindre risque pour qu’elle leur échappe ?
Jack Sparrow : Mais pourquoi on n’a plus de rhum ?
Jack Sparrow : Elle est saine et sauve, comme je te l’ai promis. Et elle est prête à épouser Norrington comme elle l’a promis. Et toi, tu vas mourir pour elle, comme tu l’as promis. Nous sommes tous des hommes d’honneur, tu vois… exceptée Elizabeth qui est en fait, une femme.
Jack Sparrow : Moi, je suis malhonnête, et on sait qu’un homme malhonnête le restera quoi qu’il arrive. Honnêtement, c’est les hommes honnêtes dont il faut se méfier parce qu’on ne peut jamais prévoir à quel moment ils feront un truc incroyablement stupide.
Barbossa : Cette île n’est sur aucune carte l’ami, et elle est remplie de monstres !
Barbossa : Et maintenant Jack Sparrow ? Sommes-nous deux immortels condamnés à un combat épique jusqu’aux trompettes célestes du jugement dernier ?
Jack Sparrow : Tu pourrais aussi te rendre.
Elizabeth Swann : Vous aimez souffrir ? Essayez de porter un corset.
Norrington : Vous oubliez votre place, Turner.
Will Turner : Elle est ici, entre vous et Jack.
Elizabeth Swann : Comme la mienne.
Jack Sparrow : Bien, je dois dire que tout cela me semble très plaisant. Je crois qu’on a fait des progrès spectactulaires, spirituels, écuméniques, grammaticaux. Et je veux que tu saches que je t’ai toujours soutenu l’ami, c’est pas des blagues. Elizabeth, ça n’aurait jamais marché entre nous chérie, j’en suis navré. Will, le chapeau, magnifique. Les amis, que ce jour reste dans vos mémoires comme celui où vous avez failli…
Gouverneur Swann : Peut-être que dans les rares occasions où la poursuite d’une juste cause impose un acte de piraterie, la piraterie elle-même peut devenir une juste cause.
Gouverneur Swann : Alors, c’est là le chemin que tu as choisi. Après tout, c’est un forgeron.
Elizabeth Swann : Non, c’est un pirate.
Anamaria : Capitaine Sparrow, le Black Pearl est à vous.
Jack Sparrow : En route, offre-moi cet horizon. Les maudits pirates… trinquons mes jolis, yoho !