Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Pirates des Caraïbes : Jusqu’au Bout du Monde.
Sao Feng : Ne serait-il pas magnifique que votre expédition vous entraîne au-delà du monde des humains ?
Barbossa : Il faudrait sûrement le voir pour y croire.
Barbossa : Le chant s’élève dans les airs. Il n’y a pas de temps à perdre. Nous devons rassembler la confrérie de toute urgence. En tant que l’un des neuf seigneurs des pirates, vous devez répondre à l’appel.
Sao Feng : Elizabeth Swann, vous valez plus qu’il n’y parait au premier regard mais le regard peut se satisfaire du reste.
Sao Feng : La seule raison pour laquelle j’aimerais voir Jack Sparrow revenir du royaume des morts, ce serait pour l’y renvoyer moi-même !
Cutler Beckett : La confrérie se sait menacer d’extinction. Il ne lui reste plus qu’à choisir où livrer son ultime combat.
Barbossa : Ce n’est pas de se rendre dans l’au-delà qui pose problème, c’est d’en revenir !
Tia Dalma : Tout ce que l’on désire le plus, il y a un coût qu’il faut bien payer un jour.
Barbossa : Il faut se perdre pour trouver ce qui est introuvable. Autrement n’importe qui trouverait l’introuvable.
Jack Sparrow : Une pierre…voilà que nous sommes suivis par des pierres, c’est bien la première fois !
Jack Sparrow : William, j’aimerais savoir. Es-tu venu parce que tu voulais mon aide pour sauver une dangereuse demoiselle ou plutôt une demoiselle en danger, comme tu veux.
Will Turner : Non.
Jack Sparrow : Dans ce cas, tu ne serais sûrement pas venu. Donc tu n’es pas là. CQFD. T’es pas vraiment là !
Will Turner : Jack, Cutler Beckett a le coeur de Davy Jones, il contrôle le hollandais volant !
Elizabeth Swann : Il s’empare des océans !
Tia Dalma : Cette fois le chant s’élève dans les airs ! Le tribunal de la Confrérie est convoqué !
Jack Sparrow : Alors je vous abandonne une minute et voilà ce qui se passe, vous êtes devenus fous !
Will Turner : Pourquoi je voudrais naviguer avec vous ? Vous êtes quatre à avoir essayer de me tuer et l’un de vous a réussi.
Will Turner : Je veux pas de toi, tu me fais peur.
Will Turner : Si tu fais tes choix toute seule, comment je peux te faire confiance ?
Elizabeth Swann : Tu ne peux pas.
Pintel : Il n’y a plus d’eau. Pourquoi est-ce qu’il ne reste que du rhum…
Gibbs : Il n’y a plus de rhum non plus.
Barbossa : Le tribunal de la Confrérie se réunit à la baie des naufragés et Jack, toi et moi nous y allons et je ne veux pas de controverse sur ce point !
Jack Sparrow : Oh je ne discute pas à ce point, si les pirates se réunissent je vire de bord immédiatement !.
Barbossa : Tu penses toujours à fuir Jack ? Tu crois que tu peux courir plus vite que le monde ? Tu sais y a un problème. Une fois qu’on est le dernier de quelque chose, petit à petit y a plus rien ni personne.
Jack Sparrow : Mais parfois les choses peuvent revenir. On en est la preuve vivante toi et moi.
Barbossa : Oui mais ça c’est un pari risqué Jacky. Y a jamais de garantie qu’on va revenir mais de mourir un jour ça c’est une certitude.
Jack Sparrow : On convoque le tribunal de la Confrérie alors ?
Barbossa : C’est notre seul espoir.
Jack Sparrow : C’est un triste bilan de notre situation.
Barbossa : Autrefois le monde était beaucoup plus grand.
Jack Sparrow : Le monde est toujours le même. Il est juste moins attrayant.
Jack Sparrow : Il lui faut le Pearl. Le Capitaine Turner a besoin du Pearl. Vous, vous aviez des remords. Et toi et ton tribunal de la Confrérie. Alors aucun de vous n’est venu me sauver parce que je lui manquais ?
Sao Feng : Il n’y a aucun honneur à demeurer aux côtés des perdants. Rejoindre le camp des vainqueurs, voilà ce qui est de bonne guerre.
Jack Sparrow : Vous pouvez me tuer mon ami mais ne m’insultez pas. Allons, qui suis-je ? Je suis le Capitaine Sparrow !
Cutler Beckett : Vous êtes malade !
Jack Sparrow : Et j’en remercie le ciel parce qu’autrement je ne pourrais pas faire ça. Et je n’ai même pas eu besoin de boire une seule goutte de rhum.
Bill Turner : Le Hollandais Volant doit toujours avoir un Capitaine. Et s’il vient me sauver, c’est vous qu’il perd.
Jack Sparrow : William, tu ne remarques rien ? Ou plutôt, ne remarques-tu pas l’absence de ce que tu devrais remarquer.
James Norrington : Nos destins sont étroitement mêlés Elizabeth, mais jamais ils ne se rejoignent.
Jack Sparrow : On dit toujours que les pirates sont plutôt futés mais on manque d’imagination quand il s’agit de nommer les choses. Une fois j’ai navigué avec un croulant qui avait perdu les deux bras et une partie de son œil.
Gibbs : Et on l’appelait comment ?
Jack Sparrow : Larry.
Davy Jones : C’est elle qui a fait semblant de m’aimer, c’est elle qui m’a trahit.
Will Turner : Et après quelle trahison vous êtes-vous arrachés le cœur Capitaine ?
Barbossa : Avons-nous jamais vu pareil rassemblement de toute notre vie ?
Jack Sparrow : Ma dette vient d’augmenter.
Pirate : Où est l’homme qui nous a trahit ?
Jack Sparrow : Il n’est certainement pas parmi nous.
Elizabeth Swann : Où est Will ?
Jack Sparrow : Pas parmi nous.
Jack Sparrow : Fusillez-le ! Coupez-lui sa langue ! Et fusillez sa langue ! Et coupez cette vilaine barbe.
Capitaine Teague : Le Code c’est la loi.
Capitaine Teague : Tu sais, il ne s’agit pas de vivre à jamais, Jacky. Le truc c’est de vivre avec soi-même à jamais.
Will Turner : Nulle cause n’est perdue s’il y a encore un pauvre fou pour se battre pour elle.
Barbossa : Je ne tiens pas à mourir pour une cause perdue.
Elizabeth Swann : Vous avez raison, alors pourquoi mourrons-nous ? Vous tous, écoutez-moi. Ecoutez ! Nos frères attendent que nous lancions l’offensive, que le Black Pearl les guide. Et que vont-ils voir ? Une bande de rats effrayés à bord d’une vieille épave ? Non ! Non, ils ne verront que la liberté et des hommes libres. Et nos ennemis ne verront que les éclairs de nos canons, ils n’entendront que le fracas de nos sabres et ils sauront que vous et moi nous sommes capables de tout, par la sueur de notre front et la force de nos bras et le courage de notre cœur. Chers amis, hissez nos couleurs.
Barbossa : La mort est une journée qui mérite d’être vécue !
Davy Jones : Regardez moi ça mes amis, un oiseau tombé du nid ! Un petit oiseau qui n’a jamais appris à voler !
Jack Sparrow : À mon grand regret ! Mais…il n’est jamais trop tard pour apprendre !
Davy Jones : Le coffre, remet le moi !
Jack Sparrow : Je peux te libérer l’ami.
Davy Jones : Ma liberté m’a été enlevé il y a longtemps.
Will Turner : Elizabeth, veux-tu m’épouser ?
Elizabeth Swann : Je ne crois pas que ce soit que le moment idéal pour ça !
Will Turner : Ca pourrait bien être le dernier ! Je t’aime, j’ai pris ma décision, quelle est la tienne ?
Elizabeth Swann : Barbossa ! Mariez-nous !
Barbossa : J’ai peur d’être un peu débordé pour le moment !
Will Turner : Barbossa, vite !
Barbossa : Si vous insistez ! Mes chers enfants nous sommes réunis ici aujourd’hui…pour clouer tes entrailles sur le mat espèce de chien galleux !
Davy Jones : Ah, l’amour…une erreur et une faute grave.
Jack Sparrow : La cruauté est affaire de perspective.
Cutler Beckett : Dites-vous que c’est de bonne guerre.
Jack Sparrow : Maître Gibbs !
Gibbs : Oui capitaine.
Jack Sparrow : Tu peux lancer mon tricorne en l’air si tu veux.
Gibbs : Oh oui, oui, oui capitaine ! Hourra !
Jack Sparrow : Maintenant va le chercher.
Bill Turner : Ce vaisseau a de nouveau une raison d’être mais là où nous allons, elle ne peut venir. Un jour à terre, pour dix ans en mer, c’est cher payé pour un beau geste.
Will Turner : Ca dépend de cette journée.
Elizabeth Swann : Jack, ça n’aurait jamais pu marcher entre nous.
Jack Sparrow : Vous aimeriez vous en convaincre.
Will Turner : N’oublie pas de surveiller l’horizon.
Giselle : C’est ça ?
Scarlett : Le Black Pearl ?
Giselle : Il est pas très grand…
Jack Sparrow : Ma poule, ça c’est un canot ! Mon vaisseau est magnifique et féroce et énorme et…ailleurs…pourquoi ailleurs ?
Jack Sparrow : Mes chéries, veuillez fermer votre caquet ! Ecoutez-moi. Oui, je t’ai menti. Non, tu n’es pas mon genre. Bien sûr que cette robe te boudine. Je suis jamais allé à Bruxelles. Ca se prononce irrévérencieux. Figure toi que non, je n’ai jamais rencontré pizzaro, mais j’aime ses pizzas. Et tout cela n’a pas la moindre importance à côté du fait que mon navire s’est envolé une fois de plus, compris ?
Gibbs : On se remet en chasse ?
Jack Sparrow : Et on fait main basse !