Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Nouveau départ.
Duncan Mee : Il faut quand même laisser entrer le soleil, hein. Rien ne vaut le rapport à l’autre.
Benjamin Mee : Rosie, dis-moi une chose que je fais bien.
Rosie Mee : Tu es plus joli que les autres papas à l’école. Toi, t’as plus de cheveux, c’est bien ça.
Benjamin Mee : Cette maison est parfaite ! Pourquoi vous ne nous en avez pas parlé avant ?
Monsieur Stevens : Parce qu’il y a une petite complication.
Benjamin Mee : Une complication ? C’est rien. La complication ça peut être génial. On aime bien les complications nous, hein ? Qu’est-ce qu’elle a de compliqué cette propriété ?
Monsieur Stevens : Voilà… vous serez… c’est un…
Benjamin Mee : Quoi, qu’est-ce que c’est ?
Monsieur Stevens : Non, c’est compliqué vraiment, Monsieur Mee… C’est un zoo.
Benjamin Mee : Je dirais que nous sommes tous des aventures des temps modernes et des promoteurs de la splendeur animale.
Kelly Foster : Je peux vous poser une question ? Vous êtes le stéréotype du citadin. Dans le milieu du zoo, personne n’a entendu parler de vous. Vous, vous ne connaissez pas les animaux et vous venez vous enterrer ici. Jamais quelqu’un de normal n’achèterait un endroit pareil. Surtout avec des enfants. Alors, pourquoi vous ? Vous savez ce qu’on a traversé comme difficultés ? On était trois fois plus nombreux au départ et ils ont tous démissionné. J’ai 28 ans, je ne sors jamais, je passe ma vie ici. Mes copines, elles n’arrêtent pas de m’envoyer des textos pour me raconter leurs amours et moi pendant ce temps là, je sors le fumier. Du fumier d’ours. Je fais pitié, j’ai été obligé de retourner vivre chez ma mère. On n’est pas payé, Ben-jamin. Il faut absolument que quelqu’un prenne les choses en mains sinon nous et tous les animaux on est condamné.
Benjamin Mee : Et votre question était ?
Kelly Foster : Pourquoi est-ce que vous avez acheté ?
Benjamin Mee : Pourquoi pas ?
Duncan Mee : Qui est-ce ?
Benjamin Mee : C’est Kelly.
Duncan Mee : Oh, nom de Dieu. D’accord, changement de programme. Débarrasse-toi des animaux et occupe toi de Kelly. C’est ça la joie dont je te parlais.
Rosie Mee : Est-ce que maman a eu très mal avant de s’en aller ?
Benjamin Mee : Tu te souviens pas d’un soir où on était en train de te border dans ton lit et où tu lui as posé cette question ? Tu te rappelles ?
Rosie Mee : Non.
Benjamin Mee : Et bien elle t’a dit que c’était moins dur que ça en avait l’air. Tu te rappelles, elle a dit que parfois on peut avoir l’air très malade et que ça allait pas si mal que ça.
Dylan Mee : Etre heureux, qu’est-ce que ça a de si formidable ?
Benjamin Mee : Ça vaut mieux qu’être malheureux !
Walter Ferris : Comment peut-on s’installer dans un endroit pareil ?
Benjamin Mee : Il suffit de dire : « C’est chez nous ». C’est tout simple.
Robin Jones : C’est dommage quand même. Il était génial comme patron.
Kelly Foster : Pourquoi tu dis ça ?
Robin Jones : Ça, c’est le comportement d’un homme qui démissionne.
Duncan Mee : Elle dit : « Ecoutez ton cœur, pas ton frère !!! ».
Benjamin Mee : Oui j’ai vu ça, oui. Mais elle t’aimait bien tu sais.
Duncan Mee : Elle a quand même mis trois points d’exclamation.
Benjamin Mee : Elle t’aimait beaucoup.
Benjamin Mee : Toute ma vie j’ai eu la passion de l’aventure et je n’ai jamais été très regardant à la dépense. Oui, pas du tout regardant à la dépense. En fait, j’étais un observateur et un écrivain. Mais ce zoo, c’est ma première vraie aventure et je voudrais dire que c’est la plus belle de toute parce que c’est moi qui la vis.
Rosie Mee : Dis, pourquoi tu racontes plus d’histoire ?
Benjamin Mee : Bah, parce qu’on l’a vit maintenant l’histoire.
Benjamin Mee : Tu crois que c’est pour ça que je suis venu ici ? Pour faire le clown devant toi ? Je suis venu parce que j’étais désespéré !
Dylan Mee : Je crois que je sais pas parler aux filles.
Kelly Foster : C’est pourtant pas très difficile. Ça dit tout une fille. Le secret c’est de savoir entendre ce qu’elle te dit.
Benjamin Mee : Si je pouvais lui demander à elle comment réussir à faire mon deuil…
Benjamin Mee : J’en suis à me dire que quand on a aimé une personne à ce point, aussi fort, aussi longtemps, où qu’on aille on ne pourra plus jamais réussir à la quitter. Et c’est une chose qui n’arrive qu’une fois dans une vie. Y a quelque chose qui m’échappe, je ne sais pas lâcher.
Benjamin Mee : Je pensais surtout qu’on s’aimait et que c’était comme un rêve qu’on réalisait…
Dylan Mee : C’était ton rêve ! T’étais pas forcé d’imposer ton rêve aux autres !
Benjamin Mee : Tu sais, il y a des moments dans la vie où il suffit d’avoir vingt secondes de courage, vingt secondes pas plus d’audace absolu à un moment précis et je peux te garantir qu’il peut en résulter des choses magnifiques.
Benjamin Mee : J’avais cette dégaine ?
Peter MacCready : Pire encore.
Benjamin Mee : La vache, c’est effrayant.
Kelly Foster : Ah enfin te voilà, j’ai eu peur d’avoir été trop poli.
Peter MacCready : C’est pour ça que je suis venu, ça te ressemblait pas.
Peter MacCready : Ecoute-moi bien toi ! Je suis pas comestible, je suis plein de whisky, d’amertume et de pensées impures !
Rosie Mee : Dis monsieur. Tout le monde dit que t’es un con. Je sais pas ce que ça veut dire mais je crois que c’est pas vrai.
Duncan Mee : J’adore les animaux mais rien ne vaut les êtres humains. Et si tes intentions sont bonnes, rien ne t’arrêtera jamais.
Benjamin Mee : Je voudrais juste dire que c’est pas la fin de l’aventure car par définition l’aventure est sans fin. Donc tout ce qui est à venir maintenant est en prime.
Benjamin Mee : Tu te souviens de la phrase que tu me répétais quand j’étais petit ?
Duncan Mee : Il suffit d’avoir vingt secondes de courage.
Benjamin Mee : Et bah tu vois, ça m’a guidé toute ma vie.
Benjamin Mee : Se pourrait-il qu’une personne aussi merveilleuse que vous accepte de rencontrer un type comme moi ?
Katherine : Pourquoi pas ?