Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Captain America : Civil War.
Miriam Sharpe : C’est formidable ce que vous faîtes pour ces jeunes.
Tony Stark : Oh parce qu’ils le méritent. Et ça m’allège un peu la conscience.
Miriam Sharpe : On dit qu’il y a toujours un fond de culpabilité dans la générosité. Mais si vous en avez les moyens, continuez de faire vos omelettes en cassant des œufs.
Miriam Sharpe : Vous prétendez vous battre pour nous mais en réalité vous vous battez pour vous-même. Vous nous dîtes que vous êtes des Vengeurs mais nous, qui nous vengera ? Mon fils ne reviendra jamais et c’est votre faute.
Roi T’Chaka : La victoire au prix du sang des innocents n’est pas la victoire de la justice, c’est la victoire de la honte.
Steve Rogers : Les Avengers ont uni leurs forces pour rendre le monde plus sûr et je pense qu’on a réussi.
Vision : Notre force en soi est un défi et tout défi à tendance à engendrer un conflit. Et les conflits provoquent des catastrophes.
Tony Stark : Nos activités doivent être contrôlées, quelle que soit la forme que ça prendra, je jouerais le jeu. Si nous ne sommes pas capable d’accepter certaines limites, nous ne valons pas mieux que ceux que nous combattons.
Steve Rogers : Quand des gens dont on doit assuré la protection sont menacés, on ne les abandonne pas.
Tony Stark : J’ai pas dit ça.
Steve Rogers : Mais ça revient à ça si nous ne pouvons plus décider d’agir.
Natasha Romanoff : C’est pas parce que c’est la solution apparemment la plus facile que c’est forcément la mauvaise solution. Je crois que le plus important c’est qu’on reste uni.
Steve Rogers : Peut-être oui mais à quel prix.
T’Challa : La mort dans notre culture n’est pas la fin. Pour nous, c’est plutôt un point de départ.
Wanda : Et toi, tu veux quoi ?
Vision : Que tout le monde te voit tel que je te vois.
Steve Rogers : Quand je vois qu’une situation dégénère, il faut que j’intervienne. Je m’en passerais bien pourtant.
Tony Stark : Non.
Steve Rogers : Non, c’est vrai. Il y a des jours…
Tony Stark : …où j’écraserais bien mon poing sur votre magnifique dentition.
Tony Stark : Alors ? Tu te prends pour une araignée ? L’araignée contre le crime ? T’es qui ? Spider-boy ?
Peter Parker : Non… Spider-Man, l’homme-araignée.
Tony Stark : Un homme qui porte des collants.
Tony Stark : C’est quoi ta motivation ? Y a bien une chose chaque jour qui te motive à sortir de ton petit lit.
Peter Parker : Bah… je sais pas. Je… Avant, j’étais comme j’étais avant. Et là ça fait six mois que j’ai ces pouvoirs. Je lis plein de bouquins, je bricole des ordis et j’aurais bien aimé jouer au foot moi. Mais avant je pouvais pas et là c’est trop tard.
Tony Stark : Parce que tu es différent.
Peter Parker : Exactement. Mais cette chose là y a personne à qui je peux la dire. Si on a les capacités que j’ai et que si on les utilise pas, quand on voit tout ce qui se passe, on culpabilise.
Tony Stark : Donc tu veux défendre le faible contre le fort, contribuer à rendre le monde meilleur. C’est ça ?
Peter Parker : Ouais. Défendre le faible, c’est ça. C’est exactement ça.
Vision : Si tu fais ça, ils auront plus que jamais peur de toi.
Wanda : La peur des autres, j’y peux rien. Y a que la mienne que je contrôle.
Bucky Barnes : Mais qu’est-ce que c’est que ça ?
Sam Wilson : C’est dingue, tout le monde a son gadget aujourd’hui.
Sam Wilson : Je sais pas s’il t’est déjà arrivé de te battre mais en général on évite de parler autant.
Peter Parker : D’accord, je ne le ferais plus.
Steve Rogers : Et qu’est-ce qu’il t’a encore dit Stark ?
Peter Parker : Que vous avez tort, que vous pensez avoir raison et que c’est pour ça que vous êtes dangereux.
Steve Rogers : Il a tout compris.
Peter Parker : Vous avez pas vu un vieux film qui s’appelle « L’empire contre-attaque » ?
James Rhodes : Tony, mais enfin il a quel âge ?
Tony Stark : Aucune idée, je n’ai pas de Carbone 14 pour le dater.
T’Challa : La vengeance est une déesse dévorante. Eux aussi en sont victimes. Je ne dois pas céder à son appel.
Tony Stark : Le bouclier, tu ne le mérites pas. C’est mon père qui l’a créé.
Steve Rogers : Tony, je me réjouis que vous soyez de retour à la base. Je n’aurais pas aimé vous savoir seul à vous morfondre dans l’une de vos résidences. On a tous besoin d’une famille. Les Avengers sont votre famille. Plus que la mienne, peut-être. Moi, je suis seul depuis l’âge de 18 ans. Je n’ai jamais vraiment trouvé ma place nulle part, même à l’armée. Sans doute parce que je crois d’abord aux gens, aux individus et je suis heureux de pouvoir dire que pour la plupart, ils ne m’ont pas déçu. C’est pour ça que je n’ai pas le droit de les décevoir. On pourra toujours remplacer les serrures mais est-ce que c’est vraiment nécessaire ? Je sais que je vous ai blessé, Tony. Je pensais vous ménager en ne vous disant pas la vérité à propos de vos parents. Mais je comprends maintenant que c’était pour me ménager moi-même, et je le regrette. J’espère qu’un jour vous pourrez me pardonner. J’aurais aimé qu’on s’entende sur les accords, sincèrement. Je sais que vous agissez selon votre conscience comme chacun de nous. Et c’est la seule chose à faire. Alors, quoi qu’il arrive, je vous le promets. Si vous avez besoin de nous, si vous avez besoin de moi, je serais là.