Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Aladdin.
Achats.
Le colporteur : Je vois que vous ne vous intéressez qu’aux objets exceptionnellement rares. Il me semble avoir ici de quoi faire votre bonheur… Voyez ! Ne vous laissez pas rebuter par son apparente banalité, comme tant d’autres choses ce n’est pas ce qu’il y a à l’extérieur, mais ce qu’il y a à l’intérieur qui compte. Ce n’est pas n’importe quelle lampe, elle a même changée le cours de la vie d’un jeune homme. Et ce jeune homme tout comme cette lampe valait beaucoup plus qu’on ne l’estimait. Un diamant d’innocence. Je vous raconte cette histoire ? Elle commence par une nuit noire où l’on découvre un homme en noir, nourrissant de noirs desseins.
Iago : Regarde ça ! Regarde ça ! Chaque fois que je déprime ça me déplume !
Aladdin : J’suis pas un vaurien et j’ai pas de puces.
Jafar : Soyez sans crainte, tout se passera pour le mieux.
Iago : Oui Ô puissance démoniaque !
Aladdin et Jasmine : Ils viennent pour moi ! Ils viennent pour toi ?
Aladdin : Tu as confiance en moi ?
Jasmine : Quoi ?
Aladdin : Tu as confiance en moi ?
Iago : Jafar j’suis coincé !
Jafar : Que puis-je pour vous votre grandeur ?
Jasmine : Les gardes ont arrêté un jeune homme au marché sur vos ordres !
Jafar : Votre père m’a chargé de maintenir la paix à Agrabah. Ce jeune était un criminel.
Jasmine : Et quel était son crime ?
Iago : J’peux plus respirer ! Jafaaaar !
Jafar : Mais il avait enlevé la princesse bien entendu.
Iago : Jafar je t’en prie ! Oh ça fait mal !
Jasmine : Il ne m’avait pas enlevé, je m’étais enfuie !
Jafar : Oh ciel ! Oh c’est affreusement contrariant. Si seulement j’avais su.
Jasmine : Que voulez-vous dire ?
Jafar : Hélas je crains fort que la sentence n’est déjà été exécutée.
Jasmine : Quelle sentence ?
Jafar : La mort… par décapitation.
Iago : Alors ça s’est passé comment ?
Jafar : Oh je trouve qu’elle l’a pris plutôt bien.
Aladdin : Abu ! Nooooooon !
Aladdin : Abu ! C’est vraiment pas le moment de paniquer ! Là on panique !
Le Génie : Dix millénaires, ça vous flanque un de ces torticolis !
Le Génie : Je suis à ton service, je suis le roi de la gonflette, je sais me contenir. Imité mais pas limité et jamais reproduit, le Génie de la lampe !
Le Génie : Règle numéro un : je ne peux assassiner personne. Beurk ! Laisse tomber. Règle numéro deux : je ne peux malheureusement pas obliger les gens à tomber amoureux. Mouak ! Petit canaillou va ! Règle numéro trois : désolé mais je ne ressuscite pas les morts. C’est un manque de savoir-vivre, je trouve ça dégoutant !
Le Génie : Euh, excuse-moi, euh dis donc, j’suis là ou pas ? T’as bien frotté ma lampe ? C’est toi qui m’a réveillé y me semble ! C’est toi qui m’as fait venir et voilà que maintenant tu veux me laisser tomber ? Mais il n’en est pas question, je regrette j’y suis, j’y reste. T’as le droit à tes trois souhaits, alors assis !
Le Génie : Gardez les bras et les mains à l’intérieur du tapis et c’est partiiiiiiiiiiii !
Jafar : J’adore la perfidie de ton crâne de piaf.
Aladdin : Qu’est-ce que tu souhaiterais ?
Le Génie : Moi ? C’est bien la première fois qu’on me le demande. Et bien en ce qui me concerne… oh non c’est impossible.
Aladdin : Quoi ?
Le Génie : Non, non n’insistes pas !
Aladdin : Mais quoi ? Dis-le-moi !
Le Génie : La liberté…
Aladdin : Quoi tu es prisonnier ?
Le Génie : C’est la croix qu’il faut porter quand on a du génie, des pouvoirs cosmiques phénoménaux. Dans un vrai mouchoir de poche. Mais alors la liberté, au lieu de « vous voulez quoi ? Voulez quoi ? Voulez quoi ? ». Devenir mon propre maître, ce serait encore plus merveilleux que toute la magie et tous les trésors de tout l’univers ! Mais qu’est-ce que je raconte ? Il faut que je redescende sur terre. Ca n’arrivera jamais ! Génie réveille toi mon pote, il faut faire la pause couscous..
Jasmine : Comment osez-vous ? Tous les trois, vous êtes là à comploter pour décider de mon avenir. Je ne suis pas le premier prix d’une tombola.
Jasmine : Mais quel dommage qu’Abu n’ai pas pu venir !
Aladdin : Non ! Il n’aime pas voler, il n’aime pas non plus les feux d’artifices d’ailleurs. Euh, c’est-à-dire, euh, oooh…
Jasmine : Tu es bien le jeune du marché, je le savais. Pourquoi est-ce que tu as menti ?
Aladdin : Jasmine je suis désolé.
Jasmine : Tu pensais que j’étais stupide ?
Aladdin : Non !
Jasmine : Que je ne m’en apercevrais pas ?
Aladdin : Bien sûr que non, mais je… j’avoue que je l’espérais !
Le Génie : C’est toujours pareil ! On prend un bain et la lampe sonne ! Allô ! Al ? Al petit, réveille-toi ! Je ne peux rien faire pour toi ! Il faut vraiment que tu fasses un souhait. Il faut que tu dises : Génie je veux que tu me sauves la vie ! Compris ? Vas-y, je t’en prie Aladdin ! Je prends ça pour un oui !
Le Génie : Ne me refais jamais un peur pareille.
Aladdin : Génie j’aimerai euh, je… merci Génie !
Le Génie : Oh Al ! Au fond je t’aime bien petit. Te méprends pas, je veux pas te passer la bague au doigt..
Iago : Oh manquait plus que ça ! Voilà qu’il craque ! Il a les plombs qui pètent. Jafar ! Jafar ! Un peu de poigne ! Ah là ca va comme ça !
Le Génie : Il suffit que tu dises « Génie je souhaite que tu sois libre ».
Le Génie : Ce soir le rôle d’Ali sera joué par un acteur grand, ténébreux, sinistre et moche.
Jafar : Génie je souhaite commander à la Terre, fais-moi sultan !
Jafar : Ne discutes pas mes ordres espèce de grand bleu ! Fais exactement ce que je te somme de faire esclave !
Le Génie : Je ne peux rien pour toi maintenant il faut que je bosse pour psychopathe and co.
Jasmine : Jafar je ne m’étais pas encore aperçue qu’il était impossible de résister à votre charme. Vous êtes grand, ténébreux, si bien habillé, mon amour j’aime tout en vous… Votre prestance, votre assurance, votre perroquet est tellement mignon et votre barbiche est tellement entortillée.
Le Génie : Jafar, Jafar, s’il reste à la barre ça sera un vrai cauchemar !
Aladdin : Tu voulais devenir un génie ? Tu en es un ! Et tu es livré avec tous les accessoires !
Le Génie : Oh qu’est-ce qu’une éternité de servitude à côté de l’amour ?
Aladdin : Génie tu es libre !
Le Génie : Vite, vite, souhaites un truc démentiel ! Vite, vite ! Demande-moi le Nil ! Demande-moi le Nil ! Vas-y !
Aladdin : Je souhaite le Nil !
Le Génie : Même pas en rêve !
Aladdin : Génie, euh… tu vas me manquer.
Le Génie : Toi aussi Al. Et ne t’occupes pas de ce que les gens vont dire, tu seras toujours un prince pour moi.
Le Sultan : Que fais le sultan devant une loi insultante ?