Réalisateur : Norman Tokar.
Scénariste : Ted Key.
Producteur : Ron Miller, Norman Tokar et Jan Williams.
Compositeur : Lalo Schifrin.
Société de production : Walt Disney Productions.
Distributeur : Buena Vista Distribution Company.
Sortie USA : 9 juin 1978.
Sortie française : 7 février 1979.
Titre original : The Cat from Outer Space.
Durée : 1h44.
Budget : 4 millions de dollars.
Recette mondiale : Inconnue.
Recette USA : Inconnue.
Entrées françaises : 1 426 724 entrées.
Résumé.
Jake est un chat qui arrive sur Terre. Son vaisseau spatial est endommagé et il a deux jours pour le réparer. Il s’associe au Docteur Franklin. Grâce à son collier, Jake peut faire de nombreuses choses, ce qui sera l’objet de convoitise de l’armée.
Casting.
Jake : Ronnie Schell (VF : Roger Carel).
Franklin « Frank » Wilson : Ken Berry (VF : Roland Ménard).
Elizabeth « Liz » Bartlett : Sandy Duncan (VF : Jocelyne Darche).
Général Stilton : Harry Morgan (VF : Henri Virlojeux).
Monsieur Stallwood : Roddy McDowall (VF : Bernard Tiphaine).
Norman Link : McLean Stevenson (VF : Jacques Balutin).
Earnest Ernie : Jesse White (VF : Claude Bertrand).
Achats.
Affiches.
Images.
En savoir plus.
Le tournage s’est déroulé en Californie.
Le rôle de Jake a été tenu par deux chats Abyssins : Rumple et sa sœur Amber. Le nom « alien » du chat est Zunar J5 Zoric 9/49.
L’actrice Sandy Duncan, qui joue le docteur Elizabeth Bartlett, est allergique aux chats.
Notre critique de Le chat qui vient de l’espace.
Quand Disney met en héro des animaux, en général ça passe. Associé à de la science-fiction, cela va donner quoi ?
La réponse est simple : pas grand chose. Le film ne parvient jamais à donner suffisamment de passion pour qu’on y prenne du plaisir. Déjà, le concept de base de faire un chat alien est plus que bancable (et c’est justifié dans le film avec une raison totalement loufoque…). Mais en plus l’histoire se noie au fil du temps et on se détache complètement du long-métrage.
Une séquence à la fin de Le chat qui vient de l’espace vaut quand même le détour avec des scènes aériennes de toute beauté pour l’époque. Dommage que l’ultime scène qui conclut le film soit d’une grande nullité. On ne rit donc pas malgré les tentatives de gags récurrentes, on ne ressent rien si ce n’est de l’ennui. Même la critique faite sur l’armée (période de Guerre Froide) ne convainc pas.
Alors que l’ensemble du casting s’en sort bien, les personnages ne sont pas pour autant captivants. Même le chat n’a rien d’attachant alors qu’il est censé être le héros principal.
Le chat qui vient de l’espace est donc un film à voir quand on n’a vraiment rien d’autre à faire.
