Réalisateur : Greg Beeman.
Scénariste : Marshall Efron et Alfa-Betty Olsen.
Producteur : Alexander Gorby et producer.
Compositeur : Peter Bernstein.
Société de production : Les Alexander Productions et Walt Disney Television.
Distributeur : ABC.
Sortie USA : 9 mars 1986.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : The Richest Cat in the World.
Durée : 1h24.
Budget : Inconnu.
Résumé.
Leo, un chat sachant parler, hérite de la fortune de son ancien maître. Deux enfants se prennent d’affection pour lui alors qu’un membre de la famille veut supprimer le chat pour toucher le pactole.
Achats.
Casting.
Bart : Brandon Call (VF : Jackie Berger).
Veronica : Kellie Martin (VF : Inconnue).
Oscar Kohlmeyer : Ramon Bieri (VF : Inconnue).
Howard Piggans : Steven Kampmann (VF : Inconnue).
Paula Rigsby : Caroline McWilliams (VF : Inconnue).
Gus Barrett : Steve Vinovich (VF : Inconnue).
Victor Rigsby : George Wyner (VF : Inconnue).
Images.
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Vidéos.
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Univers.
À venir.
En savoir plus.
Le chat du tournage a pour prénom Palmer.
Notre critique de Le chat pacha.
Un animal parlant et des enfants, c’est une recette traditionnelle des productions Disney.
Si on occulte le postulat que le chat sait parler via un prétexte totalement bancal, le reste nous plonge dans la comédie qui rappelle celles des années 1960 de la firme aux grandes oreilles. On a donc une forme de double intrigue entrelacée. D’un côté les enfants qui sympathisent avec le félin et qui vont gagner en maturité, de l’autre les « héritiers » qui veulent se débarrasser de l’animal. La première se veut donc sérieuse et assez touchante tandis que la seconde mise sur l’humour. Ce n’est donc pas un scénario exceptionnel mais il est plutôt bien écrit et il évolue tranquillement sans faire de fausses notes. Les péripéties sont prévisibles mais c’est un divertissement simpliste qui permet de passer le temps agréablement.
Avec de jeunes enfants acteurs, on pourrait craindre sur leur interprétation mais c’est correct. C’est surtout Bart qui est mis en avant, apprenant à mieux lire et à sa cultiver au contact du chat. Tandis que la petite fille se veut plus en retrait et sans apporter un réel intérêt à l’intrigue. On est donc plus centré sur une relation entre le garçon et le chat où chacun va trouver en l’autre un ami pour du soutien et du réconfort. C’est touchant et ça marche plutôt bien. Concernant les parents, ils sont peu développés et servent à quelques petits gags légers. Enfin, les antagonistes sont caricaturaux en étant autoritaires, secs, grognons et avides de fortunes sans aucun respect. On termine sur Leo, le chat qui aime son confort et sa richesse mais qui se rend compte progressivement que l’argent ne compense pas la solitude.
Quand on découvre qu’un chat doit parler, on se demande quel sera le rendu à l’écran. Curieusement, le résultat est convaincant. Une fois rassuré de ce côté là, on ne tombe donc pas dans une comédie catastrophique dans sa réalisation. Tout est propre et la simplicité choisie se marie bien avec l’histoire. En revanche, l’aspect sonore laisse à désirer. À croire qu’ils n’ont fait que de la captation de dialogues sans le reste. Pas de bruitage, pas d’ambiance, certaines scènes en deviennent alors complètement silencieuses et ça reste dérangeant de ce côté là.
Le chat pacha est une comédie légère assez bonne pour réunir la famille.
