Réalisateur : Tim Conrad.
Scénariste : Tim Conrad.
Producteur : Tim Conrad, Anthony Geffen et Jacqueline Sharples.
Compositeur : Soundology.
Société de production : Atlantic Productions.
Distributeur : National Geographic.
Sortie USA : 1er mars 2012.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : Cradle of the Gods.
Durée : 45min.
Budget : Inconnu.
Résumé.
Au sud-est de la Turquie se trouve le temple de Göbekli Tepe qui a 11 500 d’âge. Un lieu qui aurait marqué un tournant dans l’évolution humaine.
Achats.
À venir.
Casting.
Narrateur : Tim Conrad.
Avec les voix françaises d’Eric Chantelauze, Eric Marshal et Alexandre Donders.
Images.
Retrouvez toutes les affiches et images du film en cliquant ici.
Vidéos.
Retrouvez toutes les vidéos du film en streaming en cliquant ici.
Univers.
À venir.
En savoir plus.
À venir.
Notre critique de Le berceau des civilisations.
On plonge dans le passé pour découvrir un temple qui serait lié à une évolution de l’espèce humaine. Une période charnière qui bouleverserait ce qu’on connait déjà où l’Homme aurait eu une notion de religion avant sa sédentarisation et l’agriculture. Si ce côté mystérieux est captivant et qu’on a des éléments de réponse, on découvre aussi la capacité de l’époque pour avoir bâti un tel temple dont les pierres font 16 tonnes alors que la roue n’avait pas encore été inventé et qu’on est encore à l’âge de pierre.
À travers des témoignages d’historien et d’archéologue, ainsi que des excursions dans la région, on fait une sorte de jeux de piste pour comprendre comment tout ceci a été fait. Les sculptures sur les pierres sont aussi révélatrices d’un savoir-faire impressionnant. Cependant, le documentaire pêche par trop de redondance dans la narration alors qu’on aurait aimé avoir plus de variétés d’analyses.
La faute à sa réalisation qui a tendance à également recycler les images qu’on a déjà vu, cassant le rythme établi. De plus, le fait de montrer des reconstitutions avec des acteurs manque d’attrait car c’est trop succinct et sert juste de bouche-trou. Dommage également de ne pas avoir eu plus recours aux images de synthèse pour mieux comprendre l’immensité du lieu et de nous donner un aperçu de ce que c’était lors de son utilisation.
Le berceau des civilisations a de bonnes qualités pas assez exploitées et ses défauts nuisent à l’ensemble.