Réalisateur : Robert King.
Scénariste : Robert King et Garrett K.Shiff.
Producteur : Fitch Cady Deb LeFaive, Holly Goldberg Sloan, Irby Smith et Gary Stutman.
Compositeur : Ira Newborn.
Société de production : Roger Birnbaum Productions et Walt Disney Television.
Distributeur : ABC.
Sortie USA : 9 avril 2000.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : Angels in the infield.
Durée : 1h29.
Budget : Inconnu.
Résumé.
De parents divorcés, Laurel doit vivre avec son père Eddie, ex-star du baseball en désuétude. Pour sauver l’équipe, elle fait une prière et un ange vient les aider.
Achats.
À venir.
Casting.
Eddie Everett : Patrick Warburton (VF : Inconnue).
Laurel Everett : Brittney Irvin (VF : Inconnue).
Bob Clairon : David Alan Grier (VF : Inconnue).
Le Diable : Colin Fox (VF : Inconnue).
Simon : Kurt Fuller (VF : Inconnue).
Claire Everett : Rebecca Jenkins (VF : Inconnue).
Randy Fleck : Duane Davis (VF : Inconnue).
Gus Keeler : Beau Starr (VF : Inconnue).
Dexter Deekin : Peter Keleghan (VF : Inconnue).
Rex Lombard : Dan Duran (VF : Inconnue).
Images.
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Vidéos.
À venir.
Univers.
À venir.
En savoir plus.
L’ange du stade est la suite de Angels : une équipe aux anges (1994) et Les ailes de la victoire (1997).
Le tournage s’est déroulé de novembre à décembre 1999 au Canada.
Notre critique de L’ange du stade.
Troisième opus qui sent à nouveau le recyclage, peut-être aurons-nous un moment de gloire.
On est effectivement face à un copier/coller du second opus. Il n’y a donc pas de grandes surprises car on va voir un joueur s’améliorer, une famille se reconstruire, une équipe sur le chemin de la réussite… Tellement de prévisibilité qu’on reste un peu frustré. Néanmoins, derrière tous les bons sentiments et les valeurs familiales, on a droit quand même à une originalité. En effet, on voyait jusqu’à présent une équipe soutenue par des anges mais on en oubliait presque qu’il existe un autre camp. Ainsi, le Diable s’invite à la partie pour encourager l’équipe adverse et user lui aussi de ses pouvoirs. Cela donne une petite touche sympathique même si cela aurait été mieux en étant exploité depuis le début plutôt qu’en cours de route. La fin est évidemment très classique et heureuse pour avoir la touche optimiste à l’extrême.
Il ne fallait pas s’attendre à un casting de haute qualité mais chacun joue correctement pour être à peu près convaincant. Eddie est un joueur sur le déclin, séducteur raté, père éloigné de sa fille, qui va reprendre goût à la vie grâce à l’intervention de Bob. Cet ange un peu fou qui apporte de l’humour au métrage est aussi là pour aider tout le monde. Juste dommage qu’il soit si comique car il est nettement plus attachant quand il reste sérieux (l’acteur étant même bien plus crédible). La jeune Laurel est celle qui voit les anges et qui veut le meilleur pour sa famille, tant elle était souffrante quand même de ses parents divorcés et de ne pas connaître si bien son père. Quant à la mère, elle est finalement peu présente dans l’histoire. Enfin, on finira sur le Diable qui est un peu trop caricatural pour être réussi.
S’il n’y a pas grand chose à dire sur la réalisation qui reste simple, il faut parler des effets visuels. Forcément, ils sont présents avec les anges et le Diable. Si par moment c’est réussi (le paradis qui est fait de manière concrète avec des décors), les autres effets numériques sont souvent à la ramasse et les incrustations numériques laissent à désirer. On a droit aussi du côté du sonore à quelques mélodies célèbres aussi bien dans le classique que dans le populaire.
L’ange du stade est du même niveau que son prédécesseur : bien mais sans plus.
