Réalisateur : Jeffrey Berry.
Scénariste : Shirl Hendryx, Jeff Berry et Shirl Hendryx.
Producteur : Fitch Cady.
Compositeur : Chris Hajian.
Société de production : Fountain Productions et Walt Disney Television.
Distributeur : ABC.
Sortie USA : 22 avril 2001.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : Ladies and the champ.
Durée : 1h28.
Budget : Inconnu.
Résumé.
Deux retraitées, Sara et Margaret, décide de former un voleur des rues à devenir un boxeur, afin de se donner une seconde jeunesse.
Achats.
À venir.
Casting.
Sara Stevens : Olympia Dukakis (VF : Inconnue).
Margaret Smith : Marion Ross (VF : Inconnue).
Darold Boyarsky : David DeLuise (VF : Inconnue).
Jenny : Sarah Strange (VF : Inconnue).
Royal Reynolds : Blu Mankuma (VF : Inconnue).
Commissionaire Hamp Killemgillem : Paul Michael (VF : Inconnue).
Officier Vasbinder : Garwin Sanford (VF : Inconnue).
Images.
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À venir.
Notre critique de Ladies and the champ.
On ne peut pas dire que le synopsis fasse très vendeur et on se demande comment ils ont eu une idée pareille.
En partant d’un postulat hasardeux, le scénario ne parvient vraiment pas à décoller et part un peu trop dans différentes intrigues peu passionnantes et pas si bien construites. D’une part, on a le fameux entraînement du boxeur novice mais qui n’est pas si montré que ça jusqu’à des combats gagnants par chance. D’autre part, on a l’intrigue romantique naissante entre le boxeur et la petite-fille d’une des coachs (très classique et ne servant à rien). Enfin, la quête de l’éternelle jeunesse est mal gérée et là où ça aurait pu être la force majeure de l’histoire, c’est noyé. L’intrigue tient pourtant parfois à apporter des émotions, on salue l’effort mais ça reste perfectible. On conclue avec des touches d’humour au ras des pâquerettes.
Le casting est convaincant et c’est déjà une bonne chose. Dommage que les protagonistes ne soient pas plus développés que ça. Il y a là aussi un effort pour leur offrir des personnalités propres mais il manque à chacun un petit quelque chose en plus. Les deux retraitées sont tout juste attachantes et trop ressemblantes malgré des petits conflits entre elles. Darodl est un voyou qui se rachète une conduite en devenant boxeur mais son passé le rattrape au mauvais moment. Quant à Jenny, elle est une policière motivée mais qui va baisser sa garde et devant tenter de recoller les morceaux.
La réalisation n’aide pas vraiment à rester captif. C’est assez lent même pendant les combats de boxe qui n’apportent aucun dynamisme. Il n’y a rien à ajouter vu que le reste est très académique dans la mise en scène. Dommage que les rares gags présents soient présentés comme encore plus lourdingues que prévus à cause d’une surenchère.
Ladies and the champ est oubliable et aurait du rester dans les cartons.
