Réalisateur : Gavin Millar.
Scénariste : John Goldsmith.
Producteur : Eric Abraham et Robin Douet.
Compositeur : Stanley Myers.
Société de production : Walt Disney Television, Children’s Film and Television Foundation (CFTVF), Portobello Pictures, Thames Television et WonderWorks.
Distributeur : Disney-ABC Domestic Television.
Sortie USA : 29 avril 1989.
Sortie française : 10 juillet 1991.
Titre original : Danny, the Champion of the World.
Durée : 1h30.
Budget : Inconnu.
Résumé.
William et son fils Danny gèrent un garage dans le comté de Buckingham. Ils reçoivent la visite de Victor Hazel qui veut racheter le terrain à tout prix mais ils refusent. Danny et son père cherchent un moyen de faire fuir l’investisseur.
Achats.
Casting.
William Smith : Jeremy Irons (VF : Inconnue).
Danny Smith : Samuel Irons (VF : Inconnue).
Victor Hazel : Robbie Coltrane (VF : Inconnue).
Rabbets : Jimmy Nail (VF : Inconnue).
Springer : William Armstrong (VF : Inconnue).
Docteur Spencer : Cyril Cusack (VF : Inconnue).
Mr Snoddy : Lionel Jeffries (VF : Inconnue).
Duke : Andrew MacLachlan (VF : Inconnue).
Sergent Samways : Jonathan Adams (VF : Inconnue).
Images.
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Vidéos.
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Univers.
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En savoir plus.
Danny, le champion du monde est l’adaptation du roman Danny, the Champion of the World de Roald Dahl publié en 1975.
Le film est aussi connu en version originale sous le titre de Roald Dahl’s Danny, the Champion of the World.
William et Danny sont père et fils à l’écran mais les acteurs le sont aussi dans la vie, Samuel étant le fils de Jeremy Irons.
Le tournage s’est déroulé en Angleterre.
Notre critique de Danny, le champion du monde.
Avec une adaptation de Roald Dahl, on sait généralement à quoi s’attendre et le résultat passe globalement assez bien.
Dans l’ensemble, l’histoire est assez agréable et possède de bons sentiments mais, car il y a un « mais », il manque quand même quelque chose. On pouvait espérer soit plus de comédie car le contexte s’y prêtait bien, soit plus de sérieux. Au final, on est dans un mélange des deux qui ne rend pas le tout très digeste. Car si on fait un résumé très succinct, la seule « vengeance » consiste à empêcher des faisans d’être braconner pour embêter l’investisseur. C’est tout. Il y a plus palpitant comme intrigue…
Alors certes, on pourrait dire qu’il y a une autre intrigue lorsque Danny est à l’école et qu’il a un instituteur vraiment horrible. Sauf que… à quoi elle sert ? Elle n’apporte strictement rien à l’histoire, n’entraîne même pas de conséquences pouvant influer sur le reste. Une sorte de perte de temps scénaristique pour rallonger la durée de Danny, le champion du monde .
La relation entre Danny et son père est assez belle mais qui manque de profondeur, à l’instar des personnages d’ailleurs. Ils sont attachants mais sans plus et on aurait aimé en savoir plus sur eux. Spécialement sur Danny qui a son nom dans le titre du long-métrage. On sent la patte de l’auteur de roman derrière mais cela semble avoir été survolé pour le film. D’ailleurs, les deux acteurs sont assez inégaux. Si Jeremy Irons s’en sort bien, son fils manque encore de conviction dans son jeu. Quant à l’investisseur, on le voit tellement peu qu’il n’arrive même pas à être un bon antagoniste.
Danny, le champion du monde se laisse regarder mais son potentiel semble ne pas avoir été assez exploité.
