Réalisateur : Paul Schneider.
Scénariste : Jim Cruickshank, James Orr et Richard Jefferies.
Producteur : Susan B. Landau.
Compositeur : Lee Holdridge.
Société de production : Walt Disney Television.
Distributeur : ABC.
Sortie USA : 6 mars 1988.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : 14 Going on 30.
Durée : 1h23.
Budget : Inconnu.
Résumé.
Danny, 14 ans, est amoureux de son enseignante Peggy. Pour l’empêcher de se marier, il se fait vieillir avec une invention de son ami. Il devient alors Proviseur du collège.
Achats.
À venir.
Casting.
Danny O’Neil / « Happy » Harold Forndexter (30 ans) : Steve Eckholdt (VF : Luq Hamet).
Peggy Noble : Daphne Ashbrook
Roy « Jackjaw » Kelton : Rick Rossovich (VF : Inconnue).
Lloyd Duffy : Adam Carl (VF : Inconnue).
Danny O’Neil (14 ans) : Gabey Olds (VF : Luq Hamet).
May : Irene Tedrow (VF : Inconnue).
Herb : Harry Morgan (VF : Inconnue).
Miss Louisa Horton : Loretta Swit (VF : Inconnue).
Harold Forndexter : Alan Thicke (VF : Inconnue).
Mr. Loomis : Dick Van Patten (VF : Inconnue).
Images.
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Vidéos.
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Univers.
À venir.
En savoir plus.
À venir.
Notre critique de Comment épouser sa prof quand on a 14 ans ?
Encore un film Disney de vieillissement de corps (quand ce n’est pas une permutation). Reste à voir si on sera surpris.
Ce n’est clairement pas le scénario parfait qui restera pleinement dans les mémoires. Néanmoins, on reconnait qu’on passe un bon moment avec une histoire bien construite et qui aborde quelques sujets comme une nouvelle méthode d’éducation, un enfant qui profite de sa vie d’adulte, une enseignante paumée dans ses sentiments… Le tout est bien classique mais le traitement reste correct et certaines situations sont assez amusantes à voir. En fait, il est juste dommage d’avoir usé de science-fiction alors qu’il aurait pu être un peu plus original de voir un adolescent amoureux de sa prof et comment il faut gérer la situation. Il y a peu de surprises dans l’intrigue jusqu’à sa conclusion assez surprenante et qui soulève d’autres incohérences mais ça on ne saura pas la suite.
Bon point également sur le casting qui s’en sort parfaitement. Les personnages sont aussi bien construits. Danny est un adolescent amoureux et il profite de son vieillissement pour se rapprocher de sa prof. Il garde son âme d’enfant dans son corps d’adulte mais ne reste pas pour autant un gamin. En devenant proviseur, il est donc plus proche des envies des élèves et il va ainsi leur redonner goût aux études. On s’attache vite à lui et à sa façon de voir la vie. Il cherche aussi à obtenir le cœur de Peggy et c’est là qu’on voit sa maladresse d’adolescent. Peggy justement est une enseignante qui a l’esprit ouvert et accepte le changement. Surtout, elle va se sentir bien plus épanouie au contact de Danny bien qu’elle ne connaisse pas sa véritable identité. Le cliché revient à Kelton, le prof de sport tout dans l’autorité, la violence, l’intimidation et qui doit épouser Peggy. Ils sont totalement opposés qu’on se demande ce qu’ils font ensemble. Enfin, on termine avec LLoyd, le petit génie qui a créé l’invention du vieillissement mais qui n’est là que pour faire la grosse tête.
Vu que dans un sens on est dans un téléfilm de science-fiction, les effets visuels ne sont pas d’une grande réussite et toute la machine fait vraiment bric-à-brac pour donner un côté technique. Si on retire ça, le reste de la réalisation se veut très simple et on est vraiment dans l’esprit téléfilm de l’après-midi. Concernant la bande originale, c’est très bancal. Les musiques sont caricaturales et inintéressantes, à l’opposé des chansons utilisées qui collent bien avec l’époque et qui donne un rythme entraînant.
Comment épouser sa prof quand on a 14 ans ? est un bon divertissement qui permet de passer un moment agréable.