Big cat games.

Réalisateur : Jeremy Turner.
Scénariste : Inconnu.
Producteur : Leah Cooper.
Compositeur : Audio Network.
Société de production : Arrow International Media Ltd.
Distributeur : National Geographic.
Sortie USA : 1er décembre 2015.
Sortie française : Inconnue.
Titre original : Big cat games.
Durée : 45min.
Budget : Inconnu.

Résumé.

L’expert des félins Boone Smith met à l’épreuve des tigres, des guépards et des lions dans des jeux pour tester leurs capacités.

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Notre critique de Big cat games.

Une compétition animale façon Koh-Lanta, une approche originale en tout cas !

Effectivement, on est en plein dedans. À travers différentes épreuves (de recherche, de saut, de vitesse…), trois catégories de fauve s’affrontent dans un parc animalier : les tigres, les lions et les guépards. On se prend vraiment au jeu tant l’ensemble fait jeu sportif. Les épreuves sont vraiment bien choisies car elles reproduisent ce qu’il y a dans la vie sauvage. D’un point de vue compétition, c’est très réussi et on a rapidement nos chouchous. La compétition est quand même biaisée car les participants de chaque catégorie diffère, mais on est plus ici pour savoir comment l’animal s’adapte.

Alors on précise que chacun reste dans son enclos et que ce sont les soigneurs qui préparent les différents défis. Tout est chronométré pour savoir quel animal va percuter le plus vite ce qu’il faut faire. Aucun mal ne leur est fait tant et si bien que certaines épreuves ne donnent aucun gagnant car les animaux délaissent la nourriture qu’ils peuvent pourtant gagner.

Bien sûr, ce documentaire est là pour nous montrer les fauves d’une autre façon. Leurs capacités sont ici mis en avant et on est surpris parfois des résultats observés. On en apprend beaucoup sur les fauves tant chacun à ses propres méthodes. Grâce également à des images de synthèse, on découvre également le fonctionnement interne de ses animaux et la manière dont la nature les a doté de facultés prodigieuses.

Concernant la forme, certes c’est très rythmé, mais qu’est-ce que c’est aussi un handicap… À cause des coupures publicitaires sans doute à l’origine, on a trop souvent des résumés de ce qu’on vient de voir à l’instant. En 45 minutes, c’est vraiment inutile de voir un résumé d’une épreuve qui a duré cinq minutes et ce, plusieurs fois au cas où on ait loupé quelque chose. Autre petit bémol, d’avoir des images des fauves en milieu sauvage est excellente, car on se rend compte que même face à une proie en carton pour les défis, l’animal garde le même instinct, mais certaines images sont très archives tant elles font anciennes avec une qualité moindre.

Big cat games est aussi divertissant qu’enrichissant.