Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Le Roi Lion.
Achats.
Scar : La vie n’est pas juste. Tu vois, moi hélas, hélas, je ne serai jamais roi. Et toi, tu ne reverras jamais la lumière. Adieu.
Zazu : Ta mère ne t’as jamais dit de ne pas jouer avec la nourriture ?
Scar : Que me vaut cette visite ?
Zazu : Je viens t’annoncer que le roi Mufasa est en chemin. Ton absence à la cérémonie de ce matin a été très remarquée.
Scar : Tu es pénible Zazou, tu m’as fait perdre mon déjeuner.
Zazu : Oh tu perdras bien d’avantage quand le roi t’auras châtié. Il est comme un puma qui aurait une pneumonie.
Scar : Oh je vais m’évanouir de frayeur.
Zazu : Non non Scar, ne me regarde pas comme ça aaaaah !
Mufasa : Scar !
Scar : Hum hum hum ?
Mufasa : Lache le.
Zazu : Admirablement synchrone votre majesté !
Scar : Tiens mon grand frère bien aimé a quitté son royaume pour se mêler au commun des mortels !
Mufasa : Nous n’avons pas eu le plaisir de te voir à la présentation de Simba.
Scar : C’était aujourd’hui ? Oh, je suis vraiment confus, ça m’est sorti de l’esprit.
Zazu : Oui, grâce à ton esprit fourbe, mais en tant que frère du roi c’est toi qui devais être le premier !
Scar : Je l’étais, jusqu’à ce que cette boule de poils vienne au monde !
Mufasa : Cette boule de poils est mon fils et ton futur roi.
Scar : Oh il est temps que j’apprenne à faire la révérence.
Scar : Il ne peut pas y avoir de guerre entre nous.
Zazu : Dommage… Pourquoi ?
Scar : Parce que si ma subtile intelligence se taille la part du lion, sur le plan de la force physique j’ai bien peur que la génétique n’ait pas joué en ma faveur.
Zazu : Ah, il y a des mauvaises têtes partout altesse, chez moi il y en a deux et ils se débrouillent toujours pour tout gâcher…
Mufasa : Que pourrais-je bien faire de lui ?
Zazu :Je le verrais assez bien en carpette.
Mufasa : Zazu !
Zazu : L’avantage d’un tapis, c’est que dès qu’il est sale on peut le battre comme plat.
Sarabi : Ton fils est réveillé.
Mufasa : Jusqu’au lever du soleil c’est le tien.
Mufasa : Regarde Simba. Toute cette immensité baignée de lumière est notre royaume. Le temps que passe un roi à gouverner ressemble à la course du soleil. Un jour viendra où le soleil éteindra sur moi sa lumière et se lèvera pour faire de toi le nouveau roi.
Simba : Et tout ça m’appartiendra ?
Mufasa : Absolument tout.
Simba : Tout ce qui est dans la lumière ? L’endroit qui est dans l’ombre aussi ?
Mufasa : Notre royaume s’arrête à cette frontière, tu ne dois jamais y aller.
Simba : Moi je croyais que les rois faisaient ce qu’ils voulaient.
Mufasa : Le devoir d’un monarque va au delà de sa volonté d’agir.
Simba : Non c’est vrai ?
Mufasa : Oui mon fils.
Simba : Hé, oncle Scar ! Devine quoi ?
Scar : Je déteste les devinettes.
Simba : Je vais devenir roi de la terre des lions !
Scar : Oh quelle joie…
Simba : Mon père m’a montré le royaume et c’est moi qui gouvernerait tout !
Scar : Oui, pardonne moi de ne pas trépigner de bonheur, problème de lumbago.
Simba : Once Scar, quand je serai roi, toi tu deviendras quoi ?
Scar : Le bouffon du roi…
Simba : Haha, ce que t’es bizarre !
Scar : Tu n’as idée. Alors, ton père t’a montré tout le royaume dis tu ?
Simba : D’un bout à l’autre !
Scar : Y compris ce qu’il y avait derrière la colline de la frontière nord ?
Simba : Ben non, il m’a interdit d’y aller…
Scar : Et il a absolument raison, c’est bien trop dangereux ! Seuls les braves osent s’y aventurer.
Simba : Moi je suis brave ! Je veux savoir !
Scar : Je regrette mais je dois garder le secret.
Simba : Pourquoi ?
Scar : Simba, Simba, ma seule préoccupation est de protéger mon neveux préféré.
Simba : Oh ça c’est facile, je suis ton seul neveux !
Scar : Raison de plus pour être doublement attentif, un cimetière d’éléphants n’est pas idéal pour un prince… Oh…
Simba : Un cimetière de quoi ?! Waow !
Scar : Oh suis je bête c’est parti tout seul. Ah ben je suppose que tu l’aurais découvert tôt ou tard, avec ton astuce et ta finesse naturelle. Mais fais moi plaisir, promets moi que tu n’iras jamais visiter cet effroyable endroit. Hum ?
Simba : Pas de problème.
Scar : Tu es un bon garçon. Allez, va t’amuser maintenant. Et n’oublie pas, c’est notre petit secret.
Simba : Nala ?
Nala : Oui Simba ?
Simba : tu viens, on va visiter un truc fantastique !
Nala : Une minute, tu vois pas que je prends mon bain ?
Sarabi : Et il est temps que tu prennes le tien.
Simba : ‘man ! ‘man tu m’embrouilles la crinière ! Ça va, ça va, je suis propre, on peut y aller !
Nala : Où est-ce qu’on va ? J’espère qu’on se déplace pas pour rien.
Simba : Non, c’est super intéressant !
Sarabi: Et où se trouve cet endroit intéressant !
Simba : Euh… tout près de l’étang.
Nala : Près de l’étang ? Mais il y a rien à voir près de l’étang !
Simba : J’te le dirai après qu’on y sera !
Zazu : Oh regardez-moi ces deux là ! La petite graine de l’amour flamboie dans la savane. Vos parents vont être transportés en apprenant vos épousailles !
Simba : Épou-quoi ?
Zazu : Épousailles, alliances, fiançailles !
Nala : Euh ça veut dire ?
Zazu : Qu’un jour, tous les deux vous vous marierez.
Simba : Aaah, on peut pas se marier, c’est ma copine !
Nala : Ouais, ça paraîtrait bizarre !
Simba : Bec de banane est terrifié ?
Zazu : Monsieur bec de banane, peluche, et moi moi moi je ne vois qu’une chose, nous sommes tous les trois en danger.
Simba : Quel danger ? Ha, moi j’aime le danger ! Je me ris du danger ! Hahahaha !
Hyènes : Hahahaha !
Simba : Mais Zazou, c’est toi qui m’a dit que c’était des bécasses stupides et bouchées !
Zazu : Oh, fissa fissa sur stupidard…
Banzai : C’est nous les stupidards ?
Zazu : Euh, bon, oh il se fait tard, si on rentrait ?
Shenzi : Rien ne presse, nous serions ravis de vous avoir à dîner !
Banzai : Ouais, on pourrait grignoter à la fortune du lion !
Shenzi : Attendez attendez attendez j’ai mieux ! Et pour moi, deux croque-lionceaux ! Et ben Ed, qu’est-ce qu’il y a ?
Banzai : Dis Shenzi, tu connais un bon resto ?
Shenzi : Non, pourquoi ?
Banzai : La bouffe est en train de se carapater !
Banzai : Alors comme ça le petit piaf veut faire piou piou dans la cocotte moineau ?
Zazu :Non, pas la cocotte moineau !
Simba : Hey, tu peux pas trouver un adversaire à ta taille ?
Shenzi : T’es jaloux ?
Simba : Oups.
Mufasa : Simba, être brave, ne veut pas dire risquer l’impossible.
Simba : Mais toi tu n’as peur de rien.
Mufasa : Aujourd’hui si.
Simba : Ah oui ?
Mufasa : Oui… J’ai eu peur pour toi.
Simba : Alors même les rois ont peur ?
Mufasa : Hum hum.
Simba : Et tu sais quoi ?
Mufasa : Quoi ?
Simba : J’crois que les hyènes ont eu plus peur que toi !
Mufasa : Hahaha, sache que personne ne peut défier ton père !
Simba : Papa ?
Mufasa : Hum ?
Simba : On est super copain ?
Mufasa : Oui.
Simba : Et rien ne nous séparera jamais ?
Mufasa : Simba, je vais te raconter ce que me disait mon père. Regarde le ciel. Les rois des siècles passés nous contemplent du haut des étoiles.
Simba : C’est vrai ?
Mufasa : Oui. Chaque fois que tu te sentiras seul, n’oublie pas que tous ces rois seront là pour te guider. Et que je serai parmi eux.
Shenzi : C’est fini oui ?!
Banzai : C’est lui qui a commencé !
Shenzi : Non mais regardez vous ! Pas étonnant qu’on se balance au bout de la chaîne alimentaire !
Banzai : Moi j’aime pas me balancer !
Shenzi : Ah oui ? Vous savez que si y avait pas les lions, c’est nous qui mènerions la danse ?
Banzai : Moi je les aime pas non plus les lions !
Shenzi : Ils sont poilus…
Banzai : … orgueilleux…
Shenzi : … et puants….
Banzai : Et en plus ils sont…
Banzai et Shenzi : … affreux !
Scar : Je vous ai servi les deux lionceaux sur un plateau et vous vous êtes conduites comme des incapables.
Shenzi : Il faut dire que, c’est pas exactement comme s’ils avaient été tous seuls.
Banzai : Ben oui… Qu’est-ce qu’il fallait faire ? Tuer Mufasa ?
Scar : Précisément !
Banzai : Soyons prêtes ! Nous sommes toutes prêtes ! Pour quoi ?
Scar : Pour la mort du roi !
Banzai : Il est malade ?
Scar : Non imbécile, nous allons le tuer et Simba aussi !
Shenzi : Bonne idée ! On vivra sans roi !
Banzai et Shenzi : Sans roi ! Sans roi ! Lalalalalala !
Scar : Idiotes ! Il y aura un roi !
Banzai : Ouais mais t’avais dit que…
Scar : Je serai le roi ! Suivez moi et vous n’aurez plus jamais faim !
Hyènes : Ouais youpi ! Longue vie au roi !
Mufasa : Scar ! Mon frère, aide moi !
Scar : Longue vie au roi…
Scar : Simba, qu’est-ce que tu as fait ?
Simba : Le troupeau… Il a voulu me sauver… C’est un accident, je voulais pas, Scar…
Scar : Bien sur, bien sur que tu ne le voulais pas… Personne ne peux vouloir des choses aussi horribles… Mais le roi est mort… Et sans toi il serait encore en vie… Qu’est-ce que ta mère diras ?
Simba : Mais qu’est-ce que je peux faire alors ?
Scar : Sauve toi Simba. Pars, pars très loin et ne reviens jamais. [en s’adressant aux hyènes] Tuez le !
Shenzi : Hé, il s’en va ! Il s’en va !
Banzai : Qu’est-ce que t’attends ?
Shenzi : Tu délires, moi je plonge pas là dedans ! J’ai pas envie de me retrouver avec ta tronche, tête de cactus !
Banzai : Faut qu’on finisse le boulot !
Shenzi : Tu parles, dans le désert il s’en sortira jamais. Et si un jour il revient, on le tuera !
Banzai : Ouais ! Hé t’entends ? Si tu reviens, on te fera la peau !
Pumba : Hé, Timon, viens voir une minute ! On dirait qu’il est vivant .
Timon : Voyons voir, mais qu’est-ce que c’est que ça ? Ah ! Un lion ! Au galop Pumba !
Pumba : Hé, Timon, mais c’est juste un bébé lion ! Il a du se perdre… Regarde comme il est trognon, pauvre p’tit père… Si on le gardait ?
Timon : Non mais t’es malade ! Un lion c’est pas un jouet ! Un jour ou l’autre il va nous avaler tout cru !
Pumba : Pas lui il est trop petit !
Timon : Ça grandit ces bêtes là… !
Pumba : Peut être qu’il sera notre allié.
Timon : Haha, ah ça alors c’est la meilleure de l’année ! Comme si il pouvait… Hé, oh mais j’ai trouvé ! Et si il devenait notre allié ? Avoir un lion dans son camp c’est peut être pas une mauvaise idée.
Pumba : Alors on le prend !
Timon : Ben oui ! Le cerveau c’est toi ou c’est moi ?
Pumba : Euh…
Timon : Ben c’est bien ce que je disais ! Oh là là, moi je fris ! Trouve nous un coin d’ombre !
Pumba : T’as failli mourir !
Timon : Je t’ai sauvé ! Enfin, Pumba m’a aidé… un peu.
Simba : Merci c’est gentil…
Timon : Hé, où tu vas ?
Simba : Nul part…
Timon [à Pumba] : Hé, il a le cafard…
Pumba : Mais y a pas de cafard dans le désert !
Timon : Non non non je veux dire il est déprimé.
Pumba : Oui mais même… Quel mal te ronge petit ?
Timon : Mais rien, c’est lui le mal qui ronge !
Pumba : On peut faire quelque chose ?
Simba : Non, à moins de changer le passé…
Pumba : Dans des cas comme ça mon copain Timon dis toujours « on ne reviens jamais en avant » !
Timon : Non non non !
Pumba : C’est pas ça.
Timon : Amateur ! Allonge toi, tu vois bien que tu te fatigues. C’est « on ne revient jamais en arrière ». Écoute, si les choses tournent mal, tu ne peux rien y faire, vrai ?
Simba : Vrai.
Timon : Faux ! Quand le monde entier te persécute, tu te dois de persécuter le monde !
Simba : C’est pas ce qu’on m’a appris.
Timon : Il te faut peut être une autre méthode. Répète après moi « Hakuna Matata ».
Simba : Quoi ?
Pumba : « Hakuna Matata », ça veut dire pas de soucis !
Timon : Je vais te dire petit, c’est ça la vraie vie, pas de lois, pas de responsabilités – ouh une petite bien crémeuse – et le mieux de tout, pas de soucis, qu’est-ce que t’en dis ?
Simba : Hé ben… Hakuna Matata… Un peu gluant mais appétissant !
Zazu : « Personne au monde ne connaît ma peine, personne au monde ne m’aime ».
Scar : Oh Zazou, un peu d’enthousiasme, tu n’as pas quelque chose de plus entraînant ?
Zazu :« Ah comme le monde est petit » !
Scar : Non ! Non, tu ce que tu veux, sauf ça.
Zazu : « J’ai un joli petit lot de noix de coco, dibibidibidim, qui se suivent comme des numéros, des grosses des naines toutes à la file indienne ». Oh, on ne m’aurait jamais demandé ça du temps de Mufasa…
Timon : Pumba ? Pumba ? Hé, mais pourquoi tu t’agites ?
Pumba : Elle essaye de me bouffer !
Timon : Hein ? Waow ! Laisse glisser coco et fais gaffe à tes… Aaaah ! [Simba arrive] Ne t’inquiète pas mon vieux, je suis là, tout se passe très bien. [à Simba] Vas y, mord lui la tête ! Vise la jugulaire, la jugulaire ! [à Pumba] J’te l’avais bien dit qu’il nous fallait un lion !
Simba : Nala ? Nala c’est toi ?
Nala : Qui êtes-vous ?
Simba : C’est moi, Simba !
Nala : Tu es en vie ! Et ça ça veut dire que c’est toi le roi !
Timon : Le roi ? Pfff très chère, je crois que vous yoyottez sérieusement ma crinière !
Pumba : Le roi ? Votre majesté, je me consterne à vos pieds !
Simba : Ça suffit.
Timon : C’est pas « je me consterne » c’est « je me prosterne » et puis arrête et rien ne te dis que c’est le roi… T’es le roi ?
Simba : Non !
Nala : Simba !
Simba : Non je ne suis pas le roi ! Peut être que j’aurais pu, mais, il y a bien longtemps…
Timon : Ah, il faut que je me concentre… Tu es le roi et tu nous l’a jamais dit ?!
Simba : Roi ou pas je suis pareil.
Timon : Avec le pouvoir !
Timon : Honnêtement Pumba, ça sent mauvais.
Pumba : Oh, pardon…
Timon : Pas toi ! Eux ! Lui, elle, l’amour !
Mufasa : Simba, tu m’as oublié.
Simba : Non, jamais.
Mufasa : Tu m’as oublié en oubliant qui tu étais. Regarde en toi Simba, tu vaux mieux que ce que tu es devenu. Il te faut reprendre ta place dans le cycle de la vie.
Simba : Comment la reprendre ? Je n’ai plus aucun pouvoir.
Mufasa : N’oublie pas qui tu es. Tu es mon fils et c’est toi le roi. N’oublie pas qui tu es.
Rafiki : Le passé c’est douloureux. Mais, à mon sens, on peut soit le fuir, soit tout en apprendre.
Timon : Luau ! Ne vous demandez pas si c’est du lard ou du cochon, si vous avez faim croquez tout cru mon compagnon ! A la file indienne, chères petites hyènes, venez faire ripaille à l’hawaïenne ! Où y a de la hyène…
Pumba : Miam miam miam !
Timon : Y a du plaisir !
Pumba : Miam miam miam !
Timon : Régalez-vous !
Pumba : Miam miam !
Timon : Dans le cochon on mange tout, wouh !
Scar : Tiens tiens, ce regard m’est familier. Hum, il me semble l’avoir déjà vu quelque part, laisse moi réfléchir… Oh oui, ça y est je me le rappelle ! C’est le regard qu’avait ton père juste avant de mourir ! Écoute mon petit secret : C’est moi qui ai tué Mufasa.
Zazu : Laissez-moi sortir ! Laissez-moi sortir !
Timon : Laissez-moi entrer ! Laissez-moi entrer ! Pitié, ne me mangez pas !
Pumba : Jetez vos armes !
Banzai : Hé, qui c’est ce porc ?
Pumba : C’est à moi que tu parles ?
Timon : Oh il le traite de porc !
Pumba : C’est à moi que tu parles ?
Timon : Erreur fatale !
Pumba : C’est à moi que tu parles ?
Timon : Ça va chauffer !
Pumba : On m’appelle Monsieur Porc !
Simba : Meurtrier !
Scar : Simba, je t’en prie, par pitié je t’implore !
Simba : Tu ne mérites pas de vivre…
Scar : Simba… Je suis quand même de ta famille… Ce sont les hyènes les véritables ennemies, c’est leur faute, c’est elles qui ont tout organisé !
Simba : Pourquoi te croirais-je ? Depuis le premier jour tu m’as menti !
Scar : Mais que comptes-tu faire ? Tu n’oserais pas tuer ton vieil oncle ?
Simba : Non Scar, je ne vais pas te tuer…
Scar : Oh Simba merci, tu as l’âme noble ! Je ne l’oublierai pas, je te le promets ! Mais comment puis-je te prouver ma bonne foi, dis moi, je suis prêt à faire n’importe quoi !
Simba : Pars, pars très loin et ne reviens jamais !
Rafiki : C’est l’heure…
