Réalisateurs : Jeanne Rosenberg et Simon Wincer.
Scénariste : Jeanne Rosenberg, d’après le livre de Walter Farley et Steven Farley.
Producteurs : Kathleen Kennedy, Frank Marshall et Fred Roos.
Compositeur : William Ross.
Société de production : Walt Disney Pictures, The Kennedy/Marshall Company, Moonlighting Films et Moonlighting.
Distributeur : Buena Vista Pictures.
Sortie USA : 25 décembre 2003.
Sortie française : 31 mars 2004.
Titre original : Young Black Stallion.
Durée : 48 minutes.
Recette mondiale : 9,6 millions de dollars.
Recette USA : 6,8 millions de dollars.
Entrées françaises : 149 933 entrées.
Résumé.
Ayant fuit durant l’attaque du convoi qui devait la ramener chez son grand père, la jeune Neera se retrouve seule dans le désert et rencontre un magnifique étalon avec lequel elle va se lier d’amitié et qui l’accompagnera dans son voyage pour tenter de retrouver sa maison.
Casting.
Neera : Biana Tamimi (VF : Kelly Marot).
Aden : Patrick Elyas (VF : Inconnue).
Ben Ishak : Richard Romanus (VF : Inconnue).
Rhamon : Gerard Rudolf (VF : Inconnue).
Mansoor : Ali Al Ameri (VF : Inconnue).
Kaditr : Andries Rossouw (VF : Inconnue).
Achats.
Affiches.
Images.
En savoir plus.
La légende de l’étalon noir est un moyen-métrage tourné en IMAX pour la première fois par les studios Disney. L’histoire s’inspire d’un roman de 1989 par Walter Farley et Steven Farley.
Le tournage s’est déroulé en Afrique du sud et dans les déserts de Namibie. Il nécessita quarante chevaux et dix chameaux.
Notre critique de La Légende de l’Etalon Noir.
Ce moyen-métrage de Disney tourné en partie Namibie nous emporte dans des paysages époustouflants de déserts et de couchers de soleil agrémentés de magnifiques musiques. C’est d’ailleurs le plus gros point fort de ce film qui développe son histoire en grande partie par l’image et se contente de peu de dialogues.
L’histoire de La légende de l’étalon noir se déroule en trois temps distincts avec tout d’abord la fuite dans le désert et la rencontre de Neera avec l’étalon noir, puis le retour à la maison et enfin la course donnant ainsi trois dynamiques différentes au film. Ainsi, même si c’est un moyen-métrage de 48 minutes, l’histoire avait bien assez de potentiel pour être adaptée en film, en développant par exemple certains passages clés pour améliorer la compréhension (ce qui fait défaut au film à 2-3 moments).
Niveau visuel, comme on le disait au début, les paysages désertiques de La légende de l’étalon noir sont très beaux tout comme les prairies en milieu de film malgré la qualité assez moindre de l’image due à l’ancienneté de la production du film. De même, les chevaux utilisés pour le tournage, en particulier Sheïtan l’étalon noir et sa mère, sont splendides. Malheureusement, avec une durée si courte on développe très peu les personnages et il serait intéressant d’avoir plus d’informations sur certains.
En bref, La légende de l’étalon noir est un beau film visuellement parlant mais l’histoire gagnerait à être développée tout comme les personnages.