La Coccinelle à Monte-Carlo.

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Affiche Poster coccinelle Herbie monte carlo disney

Réalisateur : Vincent McEveety.
Scénaristes : Arthur Alsberg et Ron Nelson.
Producteurs: Ron Miller et Jan Williams.
Compositeur : Frank De Vol.
Société de production : Walt Disney Productions.
Distributeur : Buena Vista Distribution Company.
Sortie USA : 24 juin 1977.
Sortie française : 2 janvier 1978.
Titre original : Herbie goes to Monte Carlo.
Durée : 1h44.
Budget : Inconnu.
Recette mondiale : Inconnue.
Recette USA : 29 millions de dollars.
Entrées françaises : 2 977 303 entrées.

Résumé.

Suite à un vol de diamant qui tourne mal, les cambrioleurs cachent leur butin dans le réservoir de Roméo. Ce dernier, avec Jim, s’élance dans une course reliant Paris à Monte-Carlo. L’occasion pour Roméo de tomber amoureux d’une autre voiture de course.

Casting.

Jim Douglas: Dean Jones (VF : Dominique Paturel).
Wheely Applegate : Don Knotts (VF : Francis Lax).
Diane Darcy : Julie Sommars (VF : Marion Game).
Commissaire Bouchet : Jacques Marin (VF : lui-même).
Détective Fontenoy : Xavier Saint-Macary (VF : lui-même).
Quincey : Roy Kinnear (VF : Philippe Dumat).
Max : Bernard Fox (VF : Fernand Berset).
Bruno Von Sticke : Eric Braeden (VF : Hans Verner).

Achats.

Affiches.

Images.

En savoir plus.

La Coccinelle à Monte-Carlo est le troisième film d’une franchise commencée avec Un amour de Coccinelle et Le nouvel amour de Coccinelle. Il est suivi par La Coccinelle à Mexico et La Coccinelle revient.

Le tournage s’est déroulé en Californie pour la course au début du film. Le reste a eu lieu en France, notamment à Paris et à Monaco (le film montre le fameux tunnel tel qu’il était à l’époque).

image coccinelle monte carlo Herbie goes

Le film a été adapté en bande dessinée et publiée en octobre 1977 dans le magazine Walt Disney Showcase.

Gérard Jugnot, peu connu à l’époque, fait une apparition dans le film en tant que serveur dans un café.

Notre critique de La Coccinelle à Monte-Carlo.

Troisième opus de la sage, la célèbre voiture 53 de chez Disney revient de manière tonitruante.

image coccinelle monte carlo Herbie goes
image coccinelle monte carlo Herbie goes

Tout d’abord, nous repartons sur les pistes de courses pour notre plus grand plaisir, ce qui avait été complètement oublié dans Le nouvel amour de Coccinelle. En plus de cette intrigue principale, une autre se rajoute en la présence d’un vol de diamant dont la Coccinelle possède malgré elle le butin que les ravisseurs veulent récupérer. Cette seconde partie de l’histoire n’apporte pas grand chose mais permet de renouveler un peu la franchise. On n’échappe pas non plus à la romance entre Jim et Diane et évidemment entre la Coccinelle et une Lancia. Cependant, en regardant La Coccinelle à Monte-Carlo, plusieurs éléments interpellent : Jim n’est plus marié et aucune info n’est donnée ? Comment la 53 est retournée entre les mains de Jim ? Mais surtout…


Choupette n’est plus. Enfin, si, la voiture est toujours là. Sauf qu’elle est dorénavant « il » et se prénomme Roméo. Là où dans la version originale « Herbie » n’a pas vraiment de genre défini, la version française s’est traduite par « Choupette » mais pour ce long-métrage, cela ne collait plus avec l’intrigue et il a fallu lui changer de « sexe ». On passe outre très vite ce détail de taille et on apprécie grandement la voiture qui est beaucoup plus « vivante » que précédemment. Dommage que la fin du film nous fasse encore une voiture qui défie les lois de la gravité… Le retour de Jim est également une bonne nouvelle même s’il est moins approfondi que dans le début de la saga. Quant à son mécano, Don Knotts surjoue beaucoup trop son personnage mais le duo fonctionne très bien. A noter que le policier français est montré comme trop benêt alors qu’il semble plus intelligent qu’il n’y parait.

image coccinelle monte carlo Herbie goes
image coccinelle monte carlo Herbie goes

La Coccinelle à Monte-Carlo s’est payé le luxe d’être tourné en France et met donc le charme de Paris en avant et les méandres des rues de Monaco à l’honneur. Le film est donc beaucoup mieux que son prédécesseur mais le filon commence à s’essouffler.

La note de Fabien


Un peu en dessous du premier mais toujours sympathique.La Coccinelle à Monte-Carlo.