Réalisateur : Charles Martin Smith.
Scénariste : Paul Tamasy et Aaron Mendelsohn d’après l’œuvre de Kévin DiCicco.
Producteur : Harvey Weinstein et Bob Weinstein.
Compositeur : Brahm Wenger.
Société de production : Walt Disney Pictures, Keystone Pictures.
Distributeur : Buena Vista Pictures.
Sortie USA : 1er août 1997.
Sortie française : 29 avril 1998.
Titre original : Air bud.
Durée : 1h38.
Budget : 3 millions de dollars.
Recette mondiale : Inconnue.
Recette USA : 23,1 millions de dollars.
Entrées françaises : 71 246 entrées.
Résumé.
Alors qu’il joue au basket, Josh trouve un chien abandonné. Il se rend compte que l’animal adore également ce sport. Il décide de l’adopter et de l’appeler Buddy. Ensemble, ils se font connaître sur les terrains. Mais l’ancien propriétaire de Buddy cherche à récupérer son chien.
Casting.
Josh Framm : Kevin Zegers (VF : Donald Reignoux).
Buddy : lui-même.
Coach Arthur Chaney : Bill Cobbs (VF : Inconnue).
Jackie Framm : Wendy Makkena (VF : Inconnue).
Norman Snively : Michael Jeter (VF : Roger Carel).
Achats.
Affiches.
Images.
En savoir plus.
Ce film est le premier d’une franchise. Il est suivi de Air Bud 2, Air Bud 3, Tobby Méga super champion, Air Bud Superstar.
Le tournage du film a duré moins d’un mois.
Le chien qui joue le rôle de Buddy est décédé un an après le tournage à l’âge de 10 ans.
Notre critique de Air Bud : Buddy, star des paniers.
Disney nous offre à nouveau une histoire mettant en scène un animal avec un enfant. Mais en y mêlant le basket.
Ce curieux mélange passe bien dans l’ensemble. Il faut dire que le film est clairement destiné au plus jeune tant l’histoire est terriblement simpliste, même trop parfois. Voulant jouer sur la corde sensible à plusieurs moments, l’effet ne prend pas à cause d’un manque de savoir faire. Alors que le film met en avant le lien entre Buddy et Josh, cette relation peine à convaincre. Quand en plus les scénaristes décident de faire un antagoniste exaspérant (le clown) et un gamin arrogant (le joueur de basket), on a du mal à se laisser émouvoir. Sans oublier une scène finale assez grotesque.
Il faut ajouter que les acteurs sont à la peine. Le jeune Kevin Zegers manque de sensibilité dans son jeu pour comprendre l’amour qu’il a pour son chien. Sa mère est à peine mieux. Seul Bill Cobbs tire l’épingle du jeu en tant qu’entraîneur de basket. Concernant le chien, malheureusement lui aussi est peu attachant et le fait de taper dans une balle (bel exploit au passage) n’aide pas. Disney a déjà fait des films où l’animal touchait nos coeurs plus facilement.
Air Bud : Buddy, star des paniers se regarde avec les enfants qui seront admiratifs du chien mais qui ne laisse pas un grand souvenir.
